Torrides souvenirs d'été (1)
Datte: 03/01/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Curieux12, Source: Xstory
... blague bien salace, il se plaça à côté de moi. Puis il me mis une tape sur les fesses en me disant que j’avais un joli petit cul. Pour appuyer ses dire il me présenta son immense sexe tout dur. Il me dit que mon cul l’excitait beaucoup et qu’il aimerait bien en profiter davantage. Il me dit que nous serions bien à l’étage dans une chambre de sa pension. J’étais gêné et déclinait poliment et timidement son offre mais en même temps cette perspective commençait à m’exciter beaucoup. Il a bien senti que mon refus n’était que de pure forme. Il en profita pour remettre sa grosse main velu sur mon cul en prenant le temps de bien me peloter sans que je n’oppose la moindre résistance.
Je sortis des toilettes comme sous hypnose, parcouru de vertiges, une méga érection se dessinant sous mon caleçon noir moulant. Je me rassis à ma table pour tenter de reprendre mes esprits. Peine perdue, une nouvelle cliente venait d’arriver et s’installa sur un tabouret au comptoir.
C’était une grosse dame que je voyais pour la première fois. Elle avait l’air d’une fermière et portait une robe à fleurs très légère, serrée et courte qui arrivait à mi cuisses, dévoilant bien son anatomie. Un derrière immense, des cuisses épaisses comme des pylones, un ventre charnu et bien débordant, déformant l’avant de la robe ainsi que des bras ronds, flasques mais puissants, comme j’aimais tant. Sous sa robe, on apercevait les contours de sa culotte, petit détail qui poussait mon excitation à son comble.
Je ...
... ne pus m’empêcher de la dévorer des yeux.
CHAPITRE QUATRE : L’IRRESISTIBLE DEAL DE ROBERT
Robert qui m’avait vu la mater avec insistance me fit un clin d’œil et vint à ma rencontre. « Elle t’excite, hein ? Ecoute, si tu acceptes ma proposition, elle est à toi, je t’arrange le coup, je la connais très bien, c’est Josiane qui a fini son marché, elle vient tous les vendredis à midi. Elle ne peut rien me refuser ».
J’en étais bouche bée, je ne savais que répondre et j’étais très gêné. J’étais devenu tout rouge comme une petite pucelle à qui on aurait fait des propositions indécentes. Pour gagner du temps, je lui dit que j’allais réfléchir. Pour mieux me manipuler et m’aider dans ma prise de décision, il m’apporta une grande bière.
Je me lançai donc. Rouge de honte mais en même temps très excité, je lui fis part de mon accord à condtion que je puisse jouer avec Josiane mais aussi sa femme Doris.
Il acquiessa sur la champ, le regard brillant et lubrique, me disant que ce n’était qu’une simple formalité. Il s’empressa de retourner au bar.
Complètement abasourdi, tous mes sens en émoi, je me rassis à la table pendant que Robert, derrière le comptoir, fait un bref et discret exposé aux deux dames. Honteux plus que jamais, je n’osais plus relever la tête, pensant faire l’objet de railleries ou au contraire de regards réprobateurs emprunts de morale. Lorsque j’eus le courage de les regarder, je vis au contraire, des regards amusés et bienveillants à mon égard. Doris ...