LUCILLE (suite 2)
Datte: 02/01/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alain Dex, Source: Hds
... facilement l’avantage, mais se gardait bien d’en profiter. Se contentant de lutiner sa charmante petite femme jusqu’à ce que cette dernière, selon son humeur et ses dispositions, présente docilement des signes de plus en plus évidents de soumission.
Elle se souvenait comme si c’était hier de leurs premiers ébats qui avaient seulement comme enjeu un petit baiser. Puis, plus tard, un peu avant le mariage, comme elle avait fini, mais seulement après s’être longtemps et farouchement défendue, par lui laisser la découverte exclusive de ses petits trésors. Haletante, elle l’avait laissé caresser sa poitrine et cela avait duré beaucoup plus longtemps que ce qu’elle avait cru lui autoriser.
C’est ce soir-là qu’elle avait découvert la « nature masculine » Il lui avait pris la main et elle n’avait pu se défendre de la lui laisser porter jusque « là ». D’abord avec réticence, puis avec une conviction qui allait croissante, elle répondit à sa demande muette mais pressante. Caressant seulement le vêtement pour commencer, puis après discrète action sur la tirette, elle fit la découverte de cette chair, dure et douce et vivante à la fois ! Elle consentit, en cachant de plus en plus difficilement son trouble, de satisfaire à la caresse proposée… Tout ça dans la voiture des parents de Marc, avec le danger des passants qui pouvaient les découvrir à tout moment…
Elle se souvenait ensuite de son angoisse, rentrant chez elle, à la pensée que sa mère, qui savait toujours tout, allait ...
... sans doute se rendre compte de quelque chose…ou deviner peut-être…avec ses joues en feu et son esprit « ailleurs » ! Sa mère était encore debout. Bien sûr ! Elle attendait toujours que Lucille rentre. Mais elle n’avait rien dit. N’avait-elle rien remarqué ? Des années plus tard, Lucille se le demandait encore…
Marc avait donc toujours pris l’initiative dans leurs joutes amoureuses et Lucille n’avait jamais été déçue de leurs ébats. Elle ne parlait jamais de sa vie intime avec qui que ce soit et ne s’intéressait pas d’avantage à l’intimité des autres. Ce qui montrait chez elle qu’elle était parfaitement comblée.
Ce matin, c’était très différent. Peut-être pour tenter d’étouffer son naissant et brûlant secret, elle avait pour la première fois dans sa vie amoureuse, pris le risque de l’initiative.
La virilité de son mari triomphait à quelques centimètres à peine de son propre visage. Elle fut étonnée de son état. Il était dressé, vibrant, gonflé, droit comme un arbre gonflé de sève. Elle ne l’avait jamais vu comme ça ! Du moins, lui semblait-il…
Inspirée par cette vision puissante, elle se prit à le caresser. Le caresser de toutes les façons auxquelles son imagination en verve la poussait. Tantôt, elle le chatouillait du bout des doigts, partout, partout… Tantôt, au contraire, elle le griffait du bout des ongles… S’ingéniant à prolonger ces délicieuses agaceries, pour que tous le endroits fussent touchés au moins une fois. Son mari se mit à gémir, comme s’il souffrait ...