Petits meurtres entre conjoints 2 - Abigail et Richard
Datte: 29/12/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Laetitia sapho, Source: Hds
... sûrement magiques, sur la couverture. Ses dents serrent un gros cigare fumant.
Abigail les observe tous les trois. Ils sont impressionnants, et leur présence ici, qui aurait pu sembler impossible pour son esprit d’habitude si rationnel, semble une évidence. Malgré leur aspect peu rassurant, elle n’a pas peur.
Les trois « esprits », puisque a priori, s’en étaient bel et bien, devisent ensemble dans un langage incompréhensible. Ils semblent plaisanter et des rires ou des ricanements entrecoupent leurs échanges.
Maman Brigitte désigne du doigt les trois américains, toujours assis en tailleur devant le feu. Abigail ne comprit pas ce qu’elle dit, mais ça fit bien rire les deux barons, surtout Kriminel qui s’est penché en avant en se tapant la paume contre le genou, le visage hilare.
Le baron Samedi, campé devant Abigail, ouvre son pantalon et en extirpe (avec difficulté), son sexe en érection :
- Nom de dieu, se dit Abigail, c’est impressionnant !
C’est plus long que gros en fait. D’une circonférence, on va dire « normale », l’engin est somme toute, très très long.
« Combien ?» se demanda Abigail
Compliqué à déterminer. Puisque les mecs aiment exprimer le plaisir qu’ils donnent en centimètres, on va dire 25 ! Non 28 ! Pas 30 tout de même.
« Oups » pense Abigail avant de le prendre dans sa bouche (pas entièrement) et de le sucer.
« Ohhh par tous les diables et tous les esprits vaudous, que c’est bon ! On le sent sur les gencives le truc, ça vous ...
... démonte le palais et la glotte, mais quel pied !! »
« Jamais eu un truc pareil dans la bouche » se dit-elle.
« Enfin la dernière fois, ça doit remonter au 20ième siècle … ».
Le baron Samedi repousse Abigail et l’allonge sur le dos, il lui lève les jambes, déboutonne le short court qu’elle porte, ôte la petite culotte en dentelle qui se trouve dessous :
« Il ne va pas me … Mais si, il le fait … ».
« Il ne va pas me le mettre dans … » un peu horrifiée tout de même, puis « Mais si, il va me le…. », et enfin, « … jamais connu ça ! Ouh, on le sent passer, quel gourdin».
Abigail jette un regard aux deux autres, qu’elle a un peu oublié.
Déborah est à quatre pattes sur le sol, la jupe remontée au-dessus des hanches. Le Baron Kriminel la prend en levrette. Elle pousse des petits couinements suraigus. Apparemment, celle de Kriminel est courte mais très volumineuse.
« Ça doit être bien aussi …» se dit Abigail.
John, quant à lui, est allongé sur le dos. Maman Brigitte, la jupe retroussée et les seins à l'air, le chevauche. Elle donne des grands coups de bassin d'avant en arrière en ricanant et en se pinçant les tétons. John a la bouche grande ouverte et tente d’aspirer des goulées d’air entre deux coups de reins.
Le regard d'Abigail se positionne sur les petites fesses café au lait de Brigitte en train de s’agiter de haut en bas et sur la bite de John, qui apparaît et disparaît au rythme du pilonnage.
« Joli cul, la fille » se dit-elle un peu envieuse.
Maman ...