1. A nice cup of tea


    Datte: 27/12/2022, Catégories: fff, jeunes, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, intermast, Oral fgode, lettre, totalsexe, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... pour exposer les bijoux de ses couronnes. Au cas où tu n’aurais pas compris l’invitation, elle la précise sans ambages.
    
    — Tu me lèches toute, mais doucement, juste avec la langue à plat, comme un massage. Marraine a raison : j’ai le trou et la chatte en feu.
    
    Je te vois obéir avec délectation, ouvrant en douceur les chairs irritées, Babette toujours bécotant ton œillet, agrippée des deux mains à tes fesses. Joli tableau en vérité. Une gamine jambes en l’air, un sourire d’extase aux lèvres. Une jeune femme, reins cambrés, cul pointé vers le plafond, lapant du coccyx au bouton le sillon que la première lui offre. Et une blonde magicienne lutinant du bout de sa languette magique l’intimité secrète (pas tant que ça) d’une lécheuse radieuse.
    
    J’ai consciencieusement repris ma tâche de masseuse spécialisée pour tenter d’éteindre les flammes que j’ai allumées. Curieux incendie d’ailleurs, qui semble se nourrir des liquides qu’il propage. J’ai beau absorber avec dévotion tout ce qui déborde d’un calice pour l’étaler scrupuleusement sur l’autre, ni le feu de celui-ci ne se calme, ni la source de celui-là ne se tarit. Je persiste pourtant, trop contente de déguster les saveurs anciennes et nouvelles de cette jeune chatte. Trop heureuse aussi de ressentir les frissons que me dispensent les caresses buccales de Babette sur mon anus. Si jamais il lui prend l’envie de me titiller le bouton en même temps…
    
    Et voilà ! Il suffisait de le penser pour qu’elle le fasse. Elle s’ingénie ...
    ... à presser et rouler mon capuchon entre deux doigts. Elle enduit mon clito de mes sucs pour l’exciter à nu. Décidément, Chantal, tu es une formatrice hors pair aux jeux de l’amour. Je sens les spasmes qui montent dans mon ventre, qui font palpiter ma vulve, qui font durcir mes seins. Je voudrais crier mon bonheur, mais j’ai trop peur de frustrer encore Marion. J’enfouis définitivement mon visage entre ses cuisses. J’agite désespérément ma langue dans sa fente. Ses muscles se contractent sur mes tempes et sous ma bouche, c’est le coup de grâce ! Je râle entre ses lèvres en la rejoignant dans l’orgasme.
    
    Tout mon corps se détend, je m’effondre sur le lit. Ma tête bourdonne, la fatigue d’avoir trop baisé, sans doute. Non, ce sont les cuisses de Marion qui compriment toujours mes oreilles. Elle me libère enfin, laissant aller ses jambes. J’entends son souffle saccadé, les petits soupirs qui ponctuent involontairement sa respiration. Elle est aussi lasse que moi. Si lasses l’une et l’autre que nous n’avons plus la force de remercier chacune notre bienfaitrice. Au fond, je crois que c’est la même. Sans la science de Babette qui m’a transportée vers les cieux du plaisir, je n’aurais pas emporté Marion au firmament de son septième ciel.
    
    Je me retourne mollement. L’effort me semble démesuré pour bouger mon corps. J’ai l’impression qu’il pèse des tonnes. Les paroles de la chanson me viennent à l’esprit, lourd comme un cheval mort… À peine puis-je adresser à Babette un sourire béat ...
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