A nice cup of tea
Datte: 27/12/2022,
Catégories:
fff,
jeunes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
intermast,
Oral
fgode,
lettre,
totalsexe,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... moitié, et, même si tu acceptes l’expérience, ton inquiétude est bien visible lorsque le bec de la théière se rapproche de ta poitrine. Marion la penche avec précaution tandis que Babette se tient prête à intervenir. Une grimace se dessine sur ton visage quand la première goutte tombe sur ton téton, mais tu te détends immédiatement.
— Hum ! Finalement, ce n’est pas désagréable, un peu comme si on t’enveloppait le téton dans une chaude étreinte, nous confies-tu. Continue, Marion.
— Hé ! Il faut pas laisser perdre ça, affirme Babette en embouchant malgré tout ta fraise.
— Ah, alors là c’est encore mieux, soupires-tu. N’oublie pas l’autre, s’il te plaît, Marion, mais garde ce qu’il faut pour Chantal.
Je suis toujours un peu perplexe, ne sachant trop, au fond, si les sensations d’un bout de sein équivalent celles d’une muqueuse intime. Enfin, il faut tout essayer et faire confiance à ta prudence ! Pendant que vous disserter doctement sur les avantages comparés d’un mamelon aromatisé ou non, je me prépare donc à accueillir le nouveau liquide qui va abonder une source déjà aux limites de l’étiage.
Mes mains délaissent ma chatte et viennent soutenir mes reins dans un effort louable pour redresser mon bassin au plus près de la verticale. J’y parviens médiocrement sous vos regards ironiques. Le remords de n’avoir pas été assez assidue au club de gym me traverse fugitivement l’esprit, j’aurais eu l’air moins ...
... godiche. D’autant qu’il me faut répéter l’exercice, car tu me fais judicieusement remarquer que ce sera plus pratique si je m’installe dans cette position au bord du lit.
Nous y voici. Les gamines m’immobilisent chacune une jambe en grand écart et crochent deux doigts au bord du vagin pour l’élargir au maximum. Un spéculum digital, en somme. Je vois ta main incliner lentement la théière. Je me crispe involontairement quand l’extrémité du bec se pose sur la commissure de ma vulve. Tu la retires aussitôt, mais je te rassure d’un signe de tête. J’ai senti un contact au-delà du tiède, sans plus. Tu peux poursuivre ta libation, emplir ce puits qui menace bientôt de déborder.
Qui déborde, en fait. Le thé baigne mon trou à pipi et s’insinue sous le capuchon du clitoris, dégouline sur mon ventre, s’étale sur mes seins renversés. Il ruisselle en même temps sur le périnée, emprunte le sillon culier, arrose ma rosette au passage et vient lécher le bout de mes doigts cramponnés à mon râble. Il doit aussi tremper les doigts de Babette et Marion, toujours fermement agrippés dans ma chatte.
Je m’en fiche. Une douce chaleur m’a enveloppée de l’extérieur et envahie de l’intérieur. Elle rayonne au plus profond de moi, s’empare de toutes les zones sensibles, sollicite mes muscles intimes, les domine et m’impose des contractions quasi orgasmiques.
J’aimerais presque que ce soit plus chaud, peut-être en jouirais-je…
(À suivre)