Soumise à ma belle-mère (4) - Histoires de Sexe

Soumise à ma belle-mère (4)

... sainte relique. L’odeur de Danielle l’imprègne, à la fois suave et capitonnée. Je l’enfile délicatement ; elle épouse parfaitement chaque ligne de mon corps et ma généreuse poitrine tire sur le tissu. On devine sans problème également, les tétons factices qui pointent, la trace des jarretières et la bosse de ma cage. La robe m’arrive à mi-cuisse et me pousse naturellement à garder celles-ci bien serrées l’une contre l’autre. Etant un peu plus grande que Danielle, la robe s’arrête à la lisière de mes bas. Je sais déjà que chaque mouvement de mon corps risque donc d’exposer mes jarretelles et mes cuisses, comme les femmes vulgaires.

— Enfile tes mocassins d’homme. Pas de maquillage ni de perruque pour l’instant, tu n’es pas encore prête.

Je me retourne vers le miroir sur pied de la chambre et admire mon reflet. Je suis marqué par l’effroi : c’est horrible, je ne suis plus un homme et pas encore une femme. Ce sera une humiliation extrême, que de sortir ainsi. Mais je n’ai pas la force de désobéir : je ne suis que la chose de Maîtresse Danielle.

Nous sortons de la chambre, passons à la réception, où ma honte masculine me fait mourir. Je ne sais pas où me mettre, tellement je suis honteuse.

La réceptionniste pouffe de rire pendant que je paie la note de la chambre. Je vois bien que Maîtresse Danielle jubile de mon embarras. Pour rajouter à mon humiliation, elle s’adresse à moi.

— Tu vois Chantal, tu n’es plus rien pour l’instant. Tu as le choix... Soit tu désires ...

... redevenir un homme, tu prends la voiture et tu rentres chez toi la queue basse en te branlant dans la lingerie de ma fille, soit tu souhaites devenir une vraie femelle à mon service... Que choisis-tu ?

Sans aucune pudeur ni hésitation, devant la réceptionniste, je réponds en baissant la tête :

— Je vous supplie de faire de moi une vraie femelle pleine de vice Maîtresse Danielle.

L’émotion de ce moment est si forte, que mes yeux brillent de larmes de joie en prononçant ces mots. Maîtresse Danielle sourit de sa victoire, face à la réceptionniste, se retourne et sort vers le parking. Je la suis, à la fois résignée et fière de mon abandon.

Après avoir ouvert la porte à Danielle pour la laisser s’installer, je charge les bagages dans la malle arrière en regardant sans arrêt autour de moi. Heureusement, le parking est vide ce matin, et personne ne peut voir la travestie que je suis en train de devenir. Nous reprenons ainsi la route pour Bordeaux.

Danielle s’est installée à l’arrière de la voiture et a enlevé sa veste. Je me mets à l’avant et règle le rétroviseur pour bien pouvoir l’admirer. Le Body en dentelle noire la serre beaucoup, et dessine toutes les lignes de son corps : ses seins volumineux et ses tétons qui pointent à travers, gros comme des tétines de femme enceinte. Le body serre aussi son ventre rond, avec de légers bourrelets du fait qu’elle soit assise. Son ventre passe légèrement au-dessus de sa jupe droite. Cela m’excite énormément de voir ce corps de ...