Soumise à ma belle-mère (4)
Datte: 27/12/2022,
Catégories:
Transexuels
Auteur: Chantal77martin, Source: Xstory
Suite des aventures de Chantal, la catin en devenir de Danielle
Je suis réveillée par une gifle magistrale, qui me tire d’un sommeil agité. Les épreuves et aventures de la veille ont eu raison de ma force et je me suis endormie à côté de maîtresse Danielle. La chaleur sur ma joue me fait reprendre immédiatement conscience des choses.
Je suis allongé sur le lit, à nouveau avec les bras liés dans le dos, par des bas aux poignets et aux coudes. Mon sommeil a été si profond que je n’ai même pas senti Danielle changer mes liens. Je remarque également que mon sexe est à nouveau enfermé dans la cage. Je porte encore les traces de sa jouissance sur mon torse. L’effet de la pilule a été terrible et m’a vidée de mon énergie,
Maîtresse Danielle est déjà habillée. Elle porte un haut de body en dentelle noire, et je vois sans problème ses gros seins à travers. Elle porte une veste de tailleur noir ouverte, mais une fois fermée, sa poitrine sera cachée. Elle porte une jupe noire droite qui s’évase légèrement au niveau des genoux, des bas noirs très fins, 15 D je pense, et des escarpins vernis noirs, ceux-là mêmes que j’ai léchés hier. Elle a une cravache à la main qu’elle fait tournoyer entre ses doigts. Quelle femme magnifique ! Je suis excité intellectuellement, mais mon sexe est trop enfermé pour se battre contre la cage. Elle détache mes mains et mes poignets, et m’ordonne d’aller aux toilettes pour faire pipi.
Je me lève péniblement, et tombe à quatre pattes au pied du ...
... lit. Naturellement, je cherche à me relever pour marcher, mais le coup de cravache sur ma chute de reins me rappelle à la réalité de ma soumission. Je me remets à genoux en lâchant un pardon et me dirige vers la salle de bain. Danielle me suit pour surveiller. Instinctivement, je relève la lunette pour faire debout. Un deuxième coup violent de cravache s’abat dans le creux de mes reins.
— Assise, me dit-elle sèchement.
Je gémis de la morsure de ce coup si intense. Je me retourne et m’assois, comme une femme. Il me faut quelques secondes pour commencer à me soulager devant ma belle-mère. C’est si humiliant de la voir attendre que je fasse comme si j’étais son chien. Uriner à travers la cage n’est pas facile et je vise pour ne pas en mettre partout. Une fois fini, rien pour m’essuyer... Ma cage reste salie et je me relève. Un troisième coup atterrit sur mes cuisses, sans que je sache pourquoi, certainement du pur sadisme de la part de maîtresse Danielle.
— A la douche, petite saleté.
Elle ouvre l’eau froide et me propulse sous la douche. L’eau est glacée et je tremble de froid comme de peur. Mon sexe réduit encore dans la cage, et Danielle rit de cette petite chose ridicule qui ne remplit pas l’écrin qu’elle m’a posé.
Après m’avoir donné un savon à la lavande, si féminin, elle coupe l’eau et m’empêche de me sécher avec une serviette. Elle sort de la salle de bain pendant que je grelotte ainsi dix minutes avant d’être sèche. Je reste là, car elle ne m’a pas autorisée ...