Soumise à ma belle-mère (4) - Histoires de Sexe

Soumise à ma belle-mère (4)

... à sortir. Je suis doucement conditionnée à obéir et surtout à n’agir que sur ordre, sans aucune initiative.

Elle m’appelle dans la chambre où je la rejoins. Je découvre alors des habits féminins posés sur le lit. Je reste sans voix, car je ne vois spas mes propres vêtements de la veille, et nous devons bientôt quitter l’hôtel.

— Nous allons commencer ta transition ma chère fille. Ou plutôt devrais-je dire Chantal. Eh oui, j’ai parcouru ton téléphone cette nuit. C’était très instructif et j’ai tout compris de la perversité et la lubricité qui t’habitent.

— Pitié Maîtresse Danielle, ne dites rien à votre fille ni à personne. Et je me jette à ses pieds pour accompagner ma supplique.

— Je resterai discrète aussi longtemps que tu feras preuve d’obéissance et de servilité envers moi.

— Merci Maîtresse Danielle. Je pleurniche, mais en même temps, je suis heureuse de me libérer l’esprit et en mettant à jour ma vraie personnalité soumise.

— Allez, habille-toi, catin !

Je tourne mon regard sur le lit et je découvre un ensemble de lingerie de couleur ivoire. D’abord un large soutien-gorge en satin avec des bonnets qui semblent assez profonds, C sans nul doute. Je l’enfile et insère les 2 faux seins qui sont posés à côté... Ils sont lourds, au moins 2 kilos chacun et cela tire sur mon dos... Le volume qui se dessine est parfait, comme la douceur du toucher. C’est troublant et bluffant à la fois.

Ensuite, je prends la culotte, en satin ivoire également. Elle est ...

... très enrobante sur mes fesses, les bandes latérales sont larges, et la bosse de ma cage marquera le plastron, sans être trop voyante. Heureusement que je n’ai pas le plug et la chainette qui la tire en arrière, sinon je souffrirais trop. Cette parure n’est pas pour les nymphettes, mais pour les dames matures. J’ai si souvent rêvé de porter ce genre d’ensemble, que mon excitation psychologique remonte en flèche.

— Les salopes mettent la culotte après le porte-jarretelles, ironise Maîtresse Danielle. Es-tu une salope ?

Sans même chercher à répondre, je repose la culotte et prends le porte-jarretelles. Il est très haut sur mes hanches avec 4 fixations. Je l’enfile assez facilement, puis je passe la culotte par-dessus. C’est la première fois que je porte un porte-jarretelles. Jusqu’à présent, seul le plaisir des bas dim-up m’était connu.

Je prends ensuite les bas, ils sont noir foncé, presque opaques, je pense 60D. Je les enfile, ils sont si doux et les accroche un à un. La transformation monte d’un cran et je me sens devenir femme. C’est la première fois que je porte des bas suspendus. La sensation de légèreté et de douceur n’a rien à voir avec les collants volés à ma femme, que je porte en cachette.

Reste sur le lit une robe pull en laine noire. C’est une robe de maîtresse Danielle, que je reconnais tout de suite.

— C’est un peu petit, mais c’est juste pour la route... dit-elle avec une pointe d’ironie et de moquerie.

Je porte la robe contre mon corps, comme une ...