1. Inanna


    Datte: 18/12/2022, Catégories: fhhh, nympho, hotel, facial, Oral Partouze / Groupe policier, Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe

    ... élégante, ainsi qu’un sexe normal, capable d’honnête érection. Elle l’a pointé, puis a pointé son cul et l’homme s’est engouffré le nez entre ses jambes. Inanna souriait, en profitait, laissait envoler sa chevelure lorsqu’elle regardait certains hommes à sa gauche, à sa droite. Elle en choisit un autre, mais je n’ai pu voir la suite, j’ai regardé derrière moi, on venait de faire un petit raclement de gorge. Un nouvel homme se tenait là, large, bâti, noir : c’était Elliot, l’ancien instructeur de Raïssa. Il m’a reconnu et m’a souri :
    
    — J’ai raté le premier round ?
    — Oui, mais le second commence tout juste.
    — Parfait. Alors, elle l’aura sa promotion ?
    — Bien sûr !
    
    Nous avons ri d’un rire complice et malgré tout, je voulais de nouveau lui péter la gueule. Mais nous étions dans un univers complètement différent, où la culture du pseudonyme est requise, où l’anonymat doit être préservé et je ne pouvais pas lui en vouloir à Elliot, de ne m’avoir rien dit lors de notre rencontre. Quoiqu’un peu plus de temps avec lui, et il aurait craché le morceau… « Vous avez continué, elle et vous, à avoir des relations sexuelles ? » et il m’avait répondu :
    
    — Non. Oui. Je n’étais pas le seul. Et ses aveux avaient été interrompus par ces fichues recrues !
    
    J’ai remarqué qu’il avait pris un préservatif dans un des paniers près des lave-mains et j’ai été soulagé de remarquer que tous les hommes en portaient déjà, ou en avaient à la main.
    
    Voyant la princesse sahélienne Inanna, sur la ...
    ... grande table basse, en train de se faire lécher le cul par un homme, alors qu’elle en chevauchait un deuxième et en pompait un troisième, je me suis dit que la journée allait être belle et longue, très longue. « Tant que je suis en forme et tant qu’il y a des hommes en forme ! » avait-elle dit ? Je resterai jusqu’à la fin !
    
    Elle était belle, Charlène, avec des yeux marron, en amandes. Avec ses fines jambes dans son jean serré. Elle les avait croisées, ses jambes, et ses talons hauts prolongeaient ses chevilles. Ses seins maintenus dans son haut rouge à trois boutons souhaitaient éclater. Ses longs cheveux noirs, aux reflets de rouge, encadraient son visage fin, en triangle. Sa bouche poussait à l’embrasser. Ses yeux encore, perçants, pétillants, à l’iris magique.
    
    Raïssa aussi était sublime, avec ses cheveux noirs et fous nimbant son visage bronzé dans lequel ses yeux noir et lumineux illuminaient celui ou celle à qui elle parlait. Comme Charlène, Raïssa avait croisé ses jambes gainées de bas noirs . On pouvait voir les muscles de ses cuisses à peine cachées par sa jupe en cuir. Elle portait des boots sans talon et une chemisette à manches courtes vert kaki. Le sourire qu’elle adressait à Charlène était équivoque.
    
    Moi, j’étais entre les deux, habillé dans mon rôle de gérant de magasins de disques, appréhendant la réponse de Charlène qui d’ailleurs, n’a pas tardé à jaillir :
    
    — Mais pourquoi tu ne nous en as pas parlé ? a-t-elle explosé.
    
    C’était la première fois ...