Inanna
Datte: 18/12/2022,
Catégories:
fhhh,
nympho,
hotel,
facial,
Oral
Partouze / Groupe
policier,
Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe
... bien placé pour le savoir : Charlène et moi, prenant Raïssa en même temps, moi dans son cul, Charlène dans son vagin. Ou le contraire. Ou bien, Charlène ou moi la prenions par-derrière tandis que Raïssa suçait l’autre. Ou encore, moi couché sur le dos, Raïssa me chevauchant qui embrassait Charlène, qui me sodomisait. Ou encore toujours, Raïssa nous suçant en avalant nos deux queues en même temps dans sa bouche. L’amour oral, l’amour anal, l’amour vaginal, l’amour de trois êtres heureux de cette réunion des corps et des esprits.
— Oui, je comprends bien, mais… Inanna ?
Raïssa s’est ébouriffé les cheveux en me contournant, j’étais toujours nu et avais un début d’érection. Raïssa fouillait dans une valise ouverte cherchant de quoi se vêtir.
— L’idée m’est venue lorsque j’ai monté le réseau pour choper Curtis, avec Raul et Catalina. Ces deux-là étaient en contact avec tout le monde interlope, lié de près ou de loin au marché sexuel. Encore, tu es bien placé pour le comprendre…
Oui, oui, merci, je me rappelais trop bien du Briscard pelotant les fesses de Milly, moi. Moi, riant comme une fille facile, prenant son sexe en bouche, à genoux entre les jambes du vieux, concentré à ma tâche, les yeux fermés pour bien sentir ce sexe entre mes lèvres, content de porter un top à manches courtes moulant de faux seins, des bas noirs, une jupe ample à plis et non serrée sur mon corps : il y avait moins de chance de remarquer ma propre érection… et Catalina la grande Noire de ...
... s’installer pour m’observer. Se masturbait-elle en même temps ? Je ne l’ai jamais su.
— Ainsi, ils m’ont présenté à Tony le logisticien : avec lui, on a monté le site sur TOR. Raul est en charge de la sélection des partenaires. J’ai en lui une totale confiance. Patience, délicatesse, respect et humour sont les sésames de tous ces hommes qui attendent en ce moment.
— OK… mais je peux savoir… ? Pourquoi ?
Elle a littéralement éclaté de rire, d’un fou rire joyeux :
— Parce que ! Tout simplement ! Outre cette sensation de toute puissance, cette glorification de mon corps, l’autre chose que j’adore, c’est ce lâcher-prise si particulier au gang-bang ! Je ne veux pas parler de transe, mais (elle a prononcé mon nom masculin, pour me faire comprendre notre complicité) ça me permet d’atteindre des hauteurs démentielles, un état d’extase sans aucune mesure ! L’histoire de quelques heures, d’une journée, je me lâche complètement ! Un homme vient de me faire jouir, je suis à bout, mais quelqu’un d’autre prend sa place : c’est là que ça devient démentiel !
Entre-temps, elle avait déniché un nouvel habit en cuir, fait en trois parties. Un harnais de poitrine, une bande enserrant son cou puis descendant entre ses seins jusqu’à sa taille fixant telle une ceinture. Puis d’autres rubans noirs, sur ses bras et ses jambes, sur lesquels il y avait des anneaux aux poignets, aux chevilles et qui pouvaient servir de point d’attache les uns aux autres. Elle était superbe. Elle remettait de ...