Série insolite. Épisode 17 « Sarah » : Baisée par Gédéon une bête de sexe. Partie 8/13
Datte: 16/12/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... s’allongea à mes côtés et posa ses grandes mains sur mes seins qu’il malaxa tout en suçant mes tétons tendus et sensibles. Puis il se mis à genoux entre mes cuisses, descendit sa tête entre mes jambes et de sa langue épaisse et longue, commença un cunnilingus admirable. Je n’avais pas pu résister longtemps, mon orgasme m’avait transcendé, mon sexe dégoulinait de ma jouissance. Je ne m’étais pas donné la peine de le sucer, Gédéon était une bête de sexe, il bandait de nouveau et était parvenu, une nouvelle fois, à me faire grimper au septième ciel avec ses coups de boutoir, entrant et sortant son gros sexe au plus profond de mes entrailles.
Grâce aux capacités exceptionnelles de mon amant, cette nuit-là je fus insatiable, je ne voulais pas que cela se termine. Je lui demandais qu’il me baise comme une salope. Heureusement, Gédéon était plein de vigueur et plein de ressource, il m’avait prise de nombreuses fois énergiquement et m’avait apporté beaucoup de plaisir avec son long et beau phallus. J’étais entièrement satisfaite, William s’était endormi sur son fauteuil après avoir éjaculé deux fois en se masturbant. Il n’avait pu voir qu’à trois heures du matin, le jeune africain m’enculait encore avec une énergie insoupçonnable.
Je m’étais réveillée le lendemain matin vers dix heures et demi, sous les petits baisers que William me faisait. Il était impatient que je lui raconte ce qu’il avait manqué et lorsque je lui dis que Gédéon était parvenu à me sodomiser, il n’en ...
... croyait pas ses yeux. En effet, plusieurs fois dans la nuit, il avait essayé, cependant à chaque fois, cela me faisait mal, son pénis était bien gros pour pénétrer mon anus que je n’offrais que rarement. Souvent à mon chéri qui n’était pas de la taille d’un éléphant : « Alors comment a-t-il fait ? » Me demanda-t-il.
Je lui expliquai donc que lorsque nous nous savonnions sous la douche à l’italienne, dès que je lui avais nettoyé délicatement le sexe, celui-ci se redressa pour la nième fois et grâce à ses doigts enduits de gel douche et de puissants jets d’eau bien chaude au rinçage, il avait dilaté ma rondelle suffisamment. Il m’avait fait mettre en levrette et petit à petit, il s’empara de mon petit trou. Le plus difficile ce fut son gros gland, une fois que celui-ci m’avait pénétré sous une douleur supportable, le mal se transforma vite en plaisir pour atteindre un nouvel orgasme : « Gédéon est un monstrueux amant mon chéri. »
Après cette nuit magique passée dans les bras de mon jeune africain, j’étais épuisée, pourtant William qui avait écouté avec attention mon récit bandait fortement, je dus le contenter en lui offrant mon cul, il voulait lui aussi me sodomiser. Si mon chéri avait joui en râlant, se vidant dans mon rectum, je ne pris pas de plaisir ce matin-là, mon anus martyrisé la veille était bien trop sensible et me brûlait encore. William m’avait décidée de prendre Gédéon comme amant régulier. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain ...