Série insolite. Épisode 17 « Sarah » : Baisée par Gédéon une bête de sexe. Partie 8/13
Datte: 16/12/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... l’abri des regards (Sauf celui de William). Je lui fis une savante et longue fellation dont j’avais le secret. Après m’avoir fait gouter son sperme, nous l’avions ramené à bon port, avant de retourner à notre hôtel où nous avions fait l’amour comme des fous.
À partir de là, nous nous désignions des proies, j’essayais de les déduire et je les emmenais dans la chambre d’amis ou dans notre chambre d’hôtel. Nous étions très clairs dans nos demandes, mon partenaire devait absolument accepter la présence de William. Il m’était arrivé d’amener un amant lorsque je sortais seule en ville, mais j’appelais mon chéri pour le prévenir et il se dirigeait dans l’appartement afin de nous regarder derrière le miroir sans tain. En général il attendait que mon partenaire éjacule une première fois avant de venir nous rejoindre. Devant le fait accompli, l’amant d’un jour, continuait en principe, ce pourquoi il était venu.
Un mercredi soir en revenant du restaurant, lorsque Gédéon notre chauffeur gara la voiture sur le parking privé, nous étions rentrés déçus. En effet lors de cette soirée, nous n’avions pas trouvé chaussure à notre pied. Nous nous étions précipités vers l’entrée et avant de prendre l’ascenseur, nous étions passé devant le bureau où l’agent de sécurité était seul : « Bonsoir Philippe ! Où sont les autres ? » Lui demanda William : « Mes deux collègues font leur ronde dans l’immeuble, ils en ont pour une heure Monsieur Fischer. » Au fond du couloir, devant la cabine de ...
... l’ascenseur, William voulant se mettre en appétit me souffla à l’oreille : « Si tu faisais une petite pipe au gardien avant de monter ? »
Pour le bien que mon chéri allait me procurer plus tard, ni une ni deux, j’acceptai de relever le défi. Philippe, regardait un match de foot à télévision, William se cacha derrière le mur et attendait le bon moment pour nous mater. En pénétrant dans le bureau, je demandai à l’agent : « C’est un beau match Philippe ? » Surpris de me revoir et surtout, se sentant fautif de regarder le match plutôt que les écrans de contrôle, il s’excusa en voulant éteindre le poste : « Non Philippe ce n’est pas la peine. » Je n’avais pas attendu, je m’étais approchée de lui et sous son regard ahuri, je lui caressai l’entrejambe. Ce quarantenaire était stupéfait, il ne savait que faire ou quoi pensé. Une chose était certaine, je lui faisais de l’effet, je n’avais eu aucun doute, vu la grosseur qui prenait forme sous sa braguette, il allait bientôt bander à souhait.
Je lui enlevai sa ceinture et baissai son pantalon pour sortir de son slip, sa verge pas encore tout à fait en totale érection. Il était bien trop absorbé pour s’apercevoir que William nous regardait par la vitre, celui-ci avait une vue imprenable. Une main sur la hampe, l’autre sur ses testicules, j’avais glissé son pénis dans ma bouche et je le suçai longuement. Je voyais dans ses yeux le plaisir intense que je lui procurais. Il ne pensait plus que j’étais la favorite du boss, il se moquait bien à ...