1. Série insolite. Épisode 17 « Sarah » : Baisée par Gédéon une bête de sexe. Partie 8/13


    Datte: 16/12/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... pouvait faire mon porte jarretelles.
    
    Poli, respectueux, souriant, Gédéon en tant que célibataire devait toujours rester disponible, c’était la raison pour laquelle, il fut embauché. Il avait un logement de fonction, un des deux studios situés au rez-de-chaussée de l’immeuble, l’autre étant réservé à Éliane la femme de service. Ce jeune trentenaire Tchadien était polyvalent, il réceptionnait les colis, s’occupait de l’entretien des trois véhicules des directeurs, des quelques petits travaux de bricolage dans l’immeuble, faisait le coursier et était le chauffeur du patron, lorsque celui-ci avait besoin de ses services. Grand, très mince, avec sa peau d’ébène, Gédéon avait un certain succès auprès des femmes de la société, notamment avec Sophie la Directrice administrative et d’après les rumeurs, il couchait régulièrement avec sa voisine Éliane.
    
    Pendant que nous roulions, je voyais Gédéon qui ne put s’empêcher de mater mes jambes nues, cela devait l’exciter, surtout que j’avais mis ma main à l’intérieur de mon string. Puis de ma main gauche, j’avais commencé à lui toucher la cuisse, il fit un mouvement de recul mais ne le pouvait pas, il regarda immédiatement William dans le rétroviseur mais celui-ci lui dit : « Laisse-toi aller au plaisir Gédéon. » Ma main remonta sur son sexe, je sentis tout de suite qu’il bandait déjà comme un malade. Ce Tchadien d’origine ne semblait pas gêné, ni perturbé par ma caresse audacieuse, devant son boss, il avait une érection démentielle, ...
    ... j’avais hâte de voir la grosseur de son sexe.
    
    J’avais déboutonné et baissé un peu son pantalon, il m’avait bien aidé à le faire en levant ses fesses. Lorsque je sortis sa verge de son slip pour mieux la caresser, je fus stupéfaite. William ne s’était pas trompé, il avait une vraie matraque entre les jambes. J’étais très excitée, je n’arrivais pas à faire le tour avec ma main tellement elle était épaisse. Cela devenait de plus en plus difficile de conduire pour lui. Le boss lui demanda de s’arrêter dès qu’il trouverait une place de libre dans la peine ombre : « Rassure-toi Sarah, avec nos vitres fumées, personne ne peut nous voir à l’intérieur. » Me dit mon chéri. Cependant il rétorqua poliment : « Ne vous en faites pas Patron, nous sommes bientôt arrivés, je tiendrai jusque-là. »
    
    En effet, pendant les dix minutes de trajet dans la voiture, il avait bien su résister aux assauts de mes lèvres et de ma langue. Lorsqu’il gara la berline sur le parking, je n’étais pas très à l’aise, j’avais envie de beaucoup plus d’espace et de lumière : « Nous pourrions finir cela dans la chambre d’ami mon chéri. » Dis-je à William, tout en tenant toujours le sexe tendu du chauffeur, je lui demandai : « Veux-tu monter avec-nous Gédéon ? »
    
    — Je suis là pour vous servir Mademoiselle.
    
    Dans la cage d’ascenseur, je me mis face à lui et ma bouche se colla à ses grosses lèvres charnues. Sa grande langue épaisse s’enroulait autour de la mienne en explorant ma bouche, sa longue main remonta le ...
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