Isabelle, soubrette au service de ses maîtres (5)
Datte: 13/12/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Docmature, Source: Xstory
... moi, les doigts plongés dans son antre, se branlant comme une folle tout en regardant son mari me sodomiser. Rien que d’y penser, je mouille abondamment. Mon patron continue de me limer et je sens ses boules frapper contre mes fesses. Impossible de me retenir et je crie tellement c’est bon d’être ainsi prise. S’il continue, il va réussir à me faire jouir du cul !
— Ecoute-la gueuler, j’en suis presque jalouse.
— Putain, oui… moi aussi, je ne peux plus me retenir… Je viens…
Monsieur jouit tout en poussant de longs râles de plaisir et en griffant mes fesses. Il déverse tout son foutre au plus profond de moi. Mais comme si cela ne suffisait pas, alors qu’il se retire, je reçois un jet sur mon visage. C’est au tour de Madame d’atteindre le plaisir suprême et même de squirter ; j’essaye d’en avaler la moindre goutte...
Le silence se fait dans la chambre, simplement perturbé par les respirations de mes maîtres qui mettent du temps à revenir à la normale. Ils ont de la chance, eux, car ils ont pu jouir… pas moi. Pourtant j’y étais presque.
Finalement, Madame prend la parole :
— C’est très bien, Isabelle, tu as parfaitement compris ton rôle. Maintenant, relève-toi que je retire tes pinces, cela fait une bonne dizaine de minutes que tu les portes, il est temps de les enlever pour un début.
Elle me libère de la première puis de la seconde. Alors que j’espérais un soulagement, c’est au contraire une vive douleur que je ressens au niveau de mes bouts devenus ...
... hypersensibles. Et quand elle me prend les tétons entre les doigts, je ne peux m’empêcher de pousser un cri.
— Non, s’il vous plaît maîtresse, cela me fait mal.
— Oui, je sais mais c’est normal et c’est le but. Arrête de bouger, obéis et ta souffrance sera moindre. Tiens, je vais te les sucer, tu vas voir, une caresse avec la langue te procurera une sensation particulière.
En effet c’est un sentiment étrange, où se mêlent plaisir et excitation douloureuse, qui m’envahit. Mais le désir est toujours le plus fort et je lui caresse les cheveux tout en poussant de petits couinements à chacune de ses caresses buccales. Les yeux bandés font que je suis encore plus à l’écoute de la moindre sensation. Madame continue ainsi et je sens mon plaisir croître ; je n’ai plus qu’une envie, qu’elle poursuive. Et quand sa main s’insinue au niveau de mon intimité et que ses doigts caressent mon bouton d’amour, je jouis presque tout de suite, tellement mon corps n’attendait qu’une simple excitation pour déclencher un orgasme.
— Je ne le crois pas, je te touche à peine et tu jouis. Tu es encore plus salope que je le pensais. Mais tu aurais dû te retenir, je ne t’ai pas donné la permission de prendre du plaisir.
Tout en prononçant ces mots, maîtresse Véronique reprend mes tétons entre ses doigts pour les pincer ce qui déclenche immédiatement une douleur. D’une manière instinctive, je monte un bras dans un geste de protection.
— Stoppe immédiatement et baisse ton bras. N’oublie pas, si tu ...