Isabelle, soubrette au service de ses maîtres (5)
Datte: 13/12/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Docmature, Source: Xstory
Je m’appelle Isabelle, quarante ans, et je viens d’entrer au service de monsieur Pierre et madame Véronique, un couple bourgeois légèrement plus âgé que moi. Mes patrons sont très portés sur le sexe, ce qui n’est pas pour me déplaire, et n’ont qu’un but, me faire participer à toutes leurs débauches. Pour cette soirée, ils m’ont proposé d’être leur soumise. Mais je laisse Madame continuer ce récit…
Le comportement d’Isabelle n’est pas admissible et pour la punir, je décide de lui administrer le martinet. J’en choisis un aux lanières plates et nombreuses, je ne veux pas être trop cruelle pour un début, il ne s’agirait pas qu’elle se rebelle. Et comme je ne connais pas sa résistance à la douleur, au moins, avec celui-ci, je suis sûre de pouvoir un peu me lâcher sans la blesser. J’alterne fesses droite et gauche ; celles-ci rougissent et à chaque coup Isabelle pousse un léger cri. Hors de question d’en tenir compte, du moins pour l’instant, et je ne fais pas de pause, gardant un rythme le plus régulier possible.
- Alors Isabelle, tu as compris ton erreur ? Je peux m’arrêter ?
- S’arrêter ? Déjà maîtresse ! Vous venez juste de commencer.
Je n’en crois pas mes oreilles. Non seulement elle ne me supplie pas de stopper mais elle en veut encore. C’est sûr, le martinet n’est pas une première pour elle, elle doit aimer comme la bonne soumise que je devine en elle. Je passe ma main au niveau de son sexe, celui-ci est trempé.
- Pierre, je ne le crois pas, la chatte de ...
... cette petite salope est complètement mouillée, elle doit aimer souffrir !
- Souffrir ? Je n’en suis pas aussi sûr que toi, ma chérie… tu as vu ton martinet ? Prends-en un aux lanières rondes et plus fines, tu verras si, très vite, elle ne te supplie pas !
Je change mon instrument mais j’en choisis toujours un aux nombreuses lanières. Avant de reprendre, je décide de m’amuser un peu. Je commence par faire courir ces dernières le long de sa colonne vertébrale puis je descends le long du sillon fessier pour atteindre son entrecuisse, au niveau duquel je m’arrête pour quelques effleurements. Un court moment de plaisir que doit apprécier Isabelle. Elle ne se doute pas de la suite...
Il est temps de reprendre ma punition. Je m’applique, étalant au mieux mes coups sur le fessier de notre petite soubrette pour que la douleur soit la plus diffuse possible. J’accélère le rythme de mes frappes progressivement. Ayant déjà reçu une telle punition, je sais que la chaleur du début doit laisser place petit à petit aux brûlures, certainement de moins en moins supportables au fur et à mesure que ses fesses rougissent. Et c’est le cas.
Je fixe le visage d’Isabelle. Cette fois-ci, je vois qu’elle souffre mais toujours en silence, se mordant la lèvre inférieure à chaque fois que les lanières s’abattent. Je devine qu’elle lutte pour ne pas craquer et je souris, elle fait moins la fière maintenant. Mais comme prévu, après plusieurs minutes de ce traitement, notre soubrette finit par céder ...