Isabelle, soubrette au service de ses maîtres (5)
Datte: 13/12/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Docmature, Source: Xstory
... la chaîne, ce qui déclenchera une sensation nettement moins agréable. N’oublie pas, une soumise qui n’obéit pas doit être punie, alors à toi de voir...
— J’obéirai maîtresse.
— Bon, c’est parfait, tu es presque prête pour la suite. Il ne me reste plus qu’à te remettre ton bandeau. Voilà, c’est fait... Maintenant à genoux et tourne ton cul vers ton maître, il est grand temps qu’il en prenne possession.
Me voilà en position de chienne, à quatre pattes et les yeux bandés, prête à subir la sodomisation de Monsieur, probablement sous le regard complice et lubrique de son épouse. Je perçois d’ailleurs des mouvements et que l’on bouge une chaise. C’est sûr, maîtresse Véronique vient de s’assoir face à moi et à quelques centimètres de mon visage car je sens l’odeur musquée que dégage sa chatte. Elle doit se masturber, les petits bruits de clapotis humides que j’entends ne laissant aucun doute.
La douleur fessière s’est estompée et ne persiste qu’une douce chaleur. Celle-ci et le poids de la chaîne tirant sur mes tétons ne font qu’accentuer mon désir et mon excitation. Je me cambre au maximum pour bien ouvrir mes fesses et offrir ainsi à mon patron la plus belle des vues sur ma rosette. D’ailleurs, il ne se prive pas pour admirer le spectacle :
— Regarde-moi comme notre soubrette tend bien son petit cul en haut et en arrière... elle n’attend que ça, que je la sodomise !
— Oui mon chéri, une vraie petite chienne comme nous les aimons, répond maîtresse Véronique tout ...
... en me caressant le dessus du crâne.
Monsieur me claque les fesses de ses mains, faisant trembler mes deux lobes charnus, puis fait coulisser son sexe dans mon sillon interfessier. Mais alors que j’ouvre la bouche pour pousser un long soupir de plaisir, maîtresse Véronique enfonce un doigt humide entre mes lèvres. Sans qu’elle ait besoin de me l’ordonner, je le suce et je devine immédiatement qu’il est imbibé de son jus intime. Peu après, elle me le retire pour me le présenter à nouveau, toujours mouillé. Je comprends son petit jeu : elle fait glisser alternativement son doigt entre sa moule et ma bouche. Quelle perverse, mais j’adore ! Et vue la quantité de mouille qui le recouvre, je devine que son sexe doit être trempé ; quel bonheur de savourer ce nectar.
Alors que je m’applique à lécher le doigt de Madame, je sens que l’on force ma rosette. Maître Pierre a décidé de passer à l’action et enfonce sa queue en entier dans mon anus. Heureusement celui-ci est bien préparé, entre les godes et les légumes, et s’ouvre sans la moindre résistance. Très vite, il me pilonne comme un sauvage, ses mains agrippées à mes hanches.
— Comment tu la trouves la queue de ton maître ? Je suis sûr que tu aimes quand je t’encule comme la dernière des chiennes. Ton cul est serré mais pas trop, juste comme j’aime...
Alors que je subis les coups de reins violents de son époux, les bruits humides de la chatte de madame Véronique ne font que s’amplifier. Je l’imagine cuisses ouvertes face à ...