1. Valérie, parisienne et libertine


    Datte: 13/12/2022, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, odeurs, Oral 69, fdanus, fsodo, fouetfesse, piquepince, init, lesbos, dominatio, Auteur: Divinmarkiz, Source: Revebebe

    ... d’écartement. J’aimais, dans une sorte de rite, étaler à l’avance mes instruments et laisser mon esprit vagabonder sur leur usage.
    
    Vierge de son petit trou comme Justine me l’avait avoué, j’avais choisi un plug gonflable de petite taille… il fallait qu’elle garde un bon souvenir de cette première fois !
    
    J’avais hésité à sortir la pompe et décidai que je la garderais pour une prochaine fois.
    
    Si une première séance comporte son lot d’anxiété pour la soumise, crainte de ne pas être à la hauteur, celle de finalement ne pas supporter les « punitions » et humiliations infligées, c’est aussi pour la dominatrice que je suis une épreuve.
    
    J’aime passionnément que ma soumise partage mon plaisir… Moi, en infligeant ; elle, en subissant. C’est pourquoi je m’efforce de décrire ce qu’elle devra accepter, en cas de refus de telle ou telle pratique je me range à son avis. Il est rare qu’elle n’exprime, plus tard, le désir de goûter à ce qu’elle avait initialement refusé.
    
    Ainsi, je construis inlassablement mon scénario ; j’en étais là de mes pensées.
    
    Comme toujours dans ces moments qui précèdent une « première » rencontre il me fallait marcher pour bien aligner mes pensées. Décidée à braver la chaleur de l’après-midi, je partis vers les Tuileries pour y faire tourner et retourner l’enchaînement des situations, caresses et sévices que je réservais à Justine.
    
    Inutile de préciser que pendant ces heures qui précédèrent, l’excitation avait ses effets… humides dirais-je ! ...
    ... Petite tempête dans ma culotte !
    
    Il était 19 h lorsque je rentrai chez moi, très moite.
    
    Je pris une photo de la table du salon encombrée par mes jouets, l’envoyai à Justine en route vers Paris avec ces mots :
    
    Elle ne me répondit que quinze minutes plus tard :
    
    Un quart d’heure plus tard, je reçus un message de Justine :
    
    Silence…
    
    Justine, vêtue d’un tailleur très sage, arriva à 21 h. Long baiser, très long baiser, nos corps collés. Elle, les bras autour de ma taille en attente ; moi, débutant des caresses, ma main passée dans sa culotte sur ses fesses, je les écartai de deux doigts pour en promener un troisième le long de son sillon très humide. Je caressai doucement son petit trou qui s’ouvrit légèrement sous la pression de mon doigt. Justine détacha ses lèvres des miennes pour poser sa tête sur mon épaule. Je l’entendais doucement soupirer.
    
    — Maintenant tu vas te déshabiller et ne garder que ta culotte.
    
    Sans un mot, elle se dirigea vers l’endroit désigné et retira ses vêtements le regard baissé. Elle portait une jolie culotte blanche en dentelle qui, collée à ses lèvres, les dessinait. Je lui fis baisser la tête, relever ses cheveux et poser autour de son cou un collier de cuir que je refermais sans le serrer… Une laisse le prolongeait.
    
    — Mets-toi à quatre pattes et suis-moi.
    
    Je l’amenai ainsi au milieu du salon et la fis se relever.
    
    Assise dans le canapé, je la contemplai elle debout, mains sur la tête. Badine à la main, je la promenais sur ses ...
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