Valérie, parisienne et libertine
Datte: 13/12/2022,
Catégories:
ff,
fplusag,
fsoumise,
fdomine,
odeurs,
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
fouetfesse,
piquepince,
init,
lesbos,
dominatio,
Auteur: Divinmarkiz, Source: Revebebe
... qu’elle était toujours humide et enfonçai un puis deux doigts, le deuxième avec difficulté.
Je les ressortis pour les plonger dans sa bouche :
— Lèche bien ma petite chienne, donne-moi ta salive, bave sur mes doigts pour que je te dilate.
Justine s’appliquait et je ressortis mes doigts enduits de sa salive pour reprendre la pénétration. Son cul commença à venir au-devant de mon geste et je sentis le conduit étroit se relâcher lentement. Je saisis alors le plug gonflable qui s’introduisit sans difficulté.
— Je vais maintenant te dilater doucement. Tu sais pourquoi ?
— Oui, Valérie, je sais, souffla-t-elle.
— Alors, dis-le !
— Tu… tu vas m’enculer.
— C’est ça, je vais t’enculer parce que ton cul et ta chatte sont à moi.
— Oui, ils sont à v… à toi. Fais ce que tu veux !
Je pompai doucement et pus voir son cul s’ouvrir sous l’effet du gonflage. Je retirai le tuyau et la poire et la fis se lever.
Je descendis la main vers son sexe, elle écarta naturellement les jambes et je fus transportée lorsque mes doigts atteignirent sa vulve. Mes caresses s’accompagnaient de ce doux bruit de succion, la chatte de Justine coulait abondamment ; je collais mes lèvres aux siennes et fis pénétrer mes doigts dans nos bouches. Elle les lécha avidement. Je les portai ensuite dans ma vulve pour les lui offrir à lécher. Que ce baiser était bon !
Détachant mes lèvres, je lui murmurai :
— Tu sais que je vais te maltraiter maintenant ?
Elle ne répondit pas, mais à mon ...
... ordre se mit à quatre pattes. Je l’entraînai, laisse dans une main, badine dans l’autre, vers la console qui se trouvait derrière le canapé. Je saisis ses seins l’un après l’autre que je posais sur le plateau de ce meuble ; une fois posées les pinces sur chacun de ses tétons, je commençais par jouer du bout de ma badine avec les pinces les faisant monter et descendre, les poussant pour enfin l’abattre sur ses globes. Elle sursauta aux premiers coups sans rien dire. Mes coups étaient fermes, mais sans violence et je décidai que dix coups sur chaque sein seraient suffisants pour une première fois.
Lorsque je m’agenouillai à ses côtés en caressant ses seins légèrement zébrés de rouge je lui dis :
— C’est très bien pour une première fois.
— Je veux plus, Valérie.
— Pas aujourd’hui, pas encore, d’autres épreuves t’attendent.
— Je sais Valérie, je suis prête.
Tant de bonne volonté méritait d’être récompensée. Je retirai avec douceur les pinces et léchai ses tétons endoloris. Je la fis s’allonger, posai ma chatte sur sa bouche pour la frotter ; je sentis ses lèvres s’ouvrir et se fermer sous mes va-et-vient et à mon tour je plaquai ma bouche sur son intimité. Je relevai ses cuisses pour la lécher, sa cyprine m’enivrait. Au bord de la jouissance, je cessai mes caresses, relevai le buste et posai mes fesses sur sa bouche dans une demande sans équivoque. D’elle-même elle m’ouvrit pour prodiguer cette caresse intime si nouvelle pour elle. Je saisis le plug qui la pénétrait pour ...