1. Valérie, parisienne et libertine


    Datte: 13/12/2022, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, odeurs, Oral 69, fdanus, fsodo, fouetfesse, piquepince, init, lesbos, dominatio, Auteur: Divinmarkiz, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent : «Valérie, parisienne et libertine »
    
    Valérie raconte sa première rencontre avec Justine, mariée, mais attirée par les femmes.
    
    Après cette courte séance de plaisir(nous avions chacune des rendez-vous), nous avions quand même pris le temps pour un autre café. Assises dans le canapé, nous échangeâmes de petits gestes tendres, des baisers.
    
    Vint rapidement le moment où nous devions vaquer à nos occupations… Sur le pas de la porte, je décidai de lui en dire un peu plus sur la suite.
    
    — La prochaine fois que nous nous verrons, je commencerai, comme je te l’ai dit, ton éducation. D’ici là, je t’indiquerai quelques règles à suivre.
    — J’ai bien compris. Comment dois-je t’appeler ?
    — Tu peux continuer de m’appeler Valérie et tu peux me tutoyer.
    — Merci, Valérie.
    — Pour moi, je verrai comment je t’appellerai…
    — Vous… euh, tu feras comme tu veux. Je crois que j’aime l’idée des mots crus.
    
    Cette déférence naturelle me fit entrevoir de beaux horizons avec Justine !
    
    — Ce soir, tu m’écriras un mail pour me décrire en détail notre rencontre.
    — Oui bien sûr, je le ferai…
    
    Un dernier baiser, et Justine partit.
    
    Ce soir-là, alors que je regardais un vieux film de Losey, ma messagerie tinta : message de Justine.
    
    Je lus et relus ce message. Contente de ma nouvelle conquête, je laissais mon esprit échafauder des scénarios, des situations pour amener ma Justine à se livrer, à s’abandonner. Ses mots en disaient long, ça n’était pas la ...
    ... première fois que je rencontrais une femme qui découvrait, avec moi, soudainement ces plaisirs. J’en retirais beaucoup d’émotion.
    
    C’était par contre la première fois que j’avais une telle différence d’âge avec mon amante. Ça ne me dérangeait pas, j’y voyais plutôt un autre atout, une femme de 50 ans qui découvrait sa bisexualité comme ses envies de soumission ne pouvait qu’être prête et ouverte à beaucoup de choses. Et puis Justine me plaisait. Intelligente, un peu ingénue, elle avait un beau corps entretenu : ses seins lourds, mais fermes étaient un plaisir à caresser et, en son temps, à « travailler ». De plus, Justine embrassait divinement bien.
    
    J’avais aussi découvert son parfum intime que j’avais également conservé sur ma bouche… il fallait que je dissipe ses appréhensions à ce sujet.
    
    Au cours des jours qui suivirent, nous échangeâmes régulièrement. Comme moi, elle aurait aimé que l’on se voie, mais il lui fallait trouver un de ces moments de liberté que sa vie de femme mariée lui autorisait rarement.
    
    Le jeudi soir… petit message :
    
    La journée avait été torride, c’était en juillet lorsqu’à Paris le soleil se déchaîne. Je préparai un dîner froid : salade, ceviche de dorade et, pour terminer, une salade de fruits comme je les aime.
    
    Trônaient sur la table du salon les « jouets » à utiliser ce soir : martinet, badine, brosse, pinces, poids, gode et plug, pour ne citer que ceux-là, et bien sûr, je l’oubliais, mon gode-ceinture.
    
    Sur le lit, j’avais posé une barre ...
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