1. Formateur est un beau métier – Amandine


    Datte: 09/12/2022, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme portrait, diffage, prof, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... j’apprécie beaucoup le spectacle…
    
    — Justement, ça serait quoi la définition de votre compagne idéale, la femme idéale ?
    — Hmmm… laissez-moi réfléchir…
    
    Taquine, elle tapote sur mon avant-bras, ce qui me procure de doux frissons :
    
    — Pas besoin d’être diplomate avec moi, allez-y franco !
    — Vous ne savez pas dans quoi vous mettez les pieds, Amandine !
    — Pff ! Je ne suis pas une oie blanche ! Je pourrais faire rougir tout un régiment avec ce que j’ai pu faire après mon divorce !
    — Il faudra que vous me racontiez ça…
    — Vous d’abord !
    
    Je regarde d’abord le plafond puis je la contemple, elle :
    
    — La totale bien sûr : la compagne, l’amie, l’amante, la dévergondée, et j’en passe… Une femme rien que pour moi, à moi, dont je puis user et abuser.
    — Hoho… vous voulez le beurre, l’argent du beurre et surtout la crémière par-dessus !
    — Et surtout la crémière !
    
    Elle pouffe discrètement, la main devant la bouche.
    
    — Et comment vous la voyez, cette crémière ?
    
    Je pose mon verre :
    
    — Bonne question…
    — Oui ?
    — À bien y réfléchir : comme vous. Gaie comme vous, gentille, intelligente, mignonne, sexy…
    
    Elle regarde avec de grands yeux arrondis. Je continue dans mon élan :
    
    — Oui, finalement, une femme comme vous. Même du temps où vous étiez stagiaire… Mais à l’époque, vous étiez prise et…
    — Et puis ?
    — J’ai réalisé plus tard, je l’avoue. Mais bon, ça reste entre nous…
    
    Elle se contente de sourire, puis elle finit son verre. Nullement gênée, elle se lève :
    
    — ...
    ... Et si nous reprenions ? J’aimerais faire le plus gros ce matin, afin de régler les détails cet après-midi…
    — Ok, allons-y.
    
    Finalement, c’est mieux comme ça, elle fait comme si de rien n’était, et moi, je ne me suis pas trop mouillé. Quoique… Bah, tant pis si ça a cassé ma bonne image auprès de ma stagiaire. Ce soir, on n’en parlera plus. Mais en attendant ce fameux soir de délivrance, il me reste encore à atteindre l’heure du midi, puis toute l’après-midi. Le temps s’écoule avec une lenteur infernale, mais il faut que je résiste. On dirait que le sablier est bloqué, les grains de sable tombent un à un dans un atermoiement exaspérant.
    
    C’est alors qu’arrive le coup de grâce. Nous sommes en train d’analyser une table de données qui sert de carrefour à notre schéma. Accoudée de son côté du bureau, Amandine se penche vers l’écran. De ce fait, ayant le bon angle, son décolleté m’est joyeusement offert. Son sein droit reste bloqué par le rebord du bureau tandis que l’autre vient s’étaler royalement dessus, à moins de cinquante centimètres de mon nez.
    
    — Je me demande si on ne déplacerait pas ce champ dans la table voisine… (dit-elle)
    — À voir… (je suis dépassé par les événements)
    
    De ce fait, je peux sans problème admirer sa masse charnelle et voluptueuse comme présentée sur un plateau à ma seule concupiscence. Le dessus et le dessous du soutien-gorge sous toutes ses coutures s’offrent à mon admiration, surtout ce qu’il a dedans. Son sein bloqué quasiment sous le bureau ...
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