1. Formateur est un beau métier – Amandine


    Datte: 09/12/2022, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme portrait, diffage, prof, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... offre à mes yeux à sa naissance un petit bourrelet de chair alléchante dans lequel j’aimerais mordre. Son parfum m’assaille, une bouffée sensuelle m’arrive en plein visage. Ce rebord de bureau qui marque ses chairs, j’imagine qu’il s’agit de mes doigts avides qui pétrissent sensuellement ses masses molles.
    
    Je secoue la tête pour me dégager de ses senteurs moites et mon regard replonge vers son sein étalé de tout son saoul sur le bureau. Au bas de la bretelle foncée, sous une large grotte de sa robe, à la lisière de la dentelle noire, je discerne une petite frange arrondie de chair rosée. L’instant d’après, j’admire sans retenue le relief granuleux de son aréole ainsi que la naissance de la petite tour plus sombre de son téton.
    
    Il ne faudrait pas grand-chose pour que celui-ci soit en pleine lumière !
    
    Là, je vais craquer, avec son visage de profil, une mèche derrière l’oreille qui folâtre, la ligne de son cou qui plonge dans un décolleté offert, ses lèvres ardentes à quelques centimètres de moi tandis que je fais semblant de m’intéresser à ce que désigne son doigt sur l’écran. Son doigt que je mordillerais bien, là, tout de suite !
    
    Là, je craque ! Supposez que l’un de vous soit obligé de violer un juge ou une ancêtre… Aïe, là je m’égare dans Brassens…
    
    Là, j’ai craqué !
    
    Je dépose illico un baiser dans ce décolleté qui m’affole. Amandine s’exclame :
    
    — Mais vous faites quoi ?
    
    Je réalise ce que je viens de faire, je lève le nez, craignant le pire.
    
    Aucune ...
    ... colère sur le visage de ma stagiaire, plutôt de l’amusement. Dans un élan avide, je capture alors ses lèvres, tout d’abord doucement, et comme aucune résistance ne se manifeste, enfiévré, je laisse libre cours à ma passion. Ensuite, c’est un tourbillon de saveurs et de senteurs, mes mains dans ses cheveux, ma bouche sur ses lèvres, dans son cou, entre ses seins. Le tourbillon nous entraîne plus loin encore, elle répond à mes baisers, ses mains me cherchent.
    
    Sans lâcher ses lèvres, glissant sur le plateau du bureau, j’en fais le tour pour venir auprès d’elle, pour mieux la capturer, l’avoir à moi, la posséder.
    
    Nous nous retrouvons enlacés, nos corps mêlés, nos jambes nouées, son corps contre le mien, son ventre qui oscille autour de la bosse de mon pantalon, mes mains qui la parcourent partout, de ses fesses potelées, le long de son dos arqué à ses seins pointés. Je n’ai plus de notion du temps, cette étreinte devrait durer toujours. Nous nous séparons de quelques millimètres afin de reprendre notre souffle. La tête ébouriffée, le corsage défait, elle me regarde de ses yeux luisants et me dit d’un ton espiègle :
    
    — Eh bien, vous en avez mis du temps pour vous décider !
    
    C’est sans doute la réplique qui marquera le plus mon existence.
    
    Amandine est ma cure de jouvence, j’ai l’impression d’être redevenu un collégien. C’est tout beau, tout neuf, tout extra. Cependant, j’ai plus d’expérience qu’un collégien dans le sport en chambre, et d’après les gémissements et les ...
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