1. Formateur est un beau métier – Amandine


    Datte: 09/12/2022, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme portrait, diffage, prof, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... mignonnement rondouillettes. Sa robe noire s’arrête un peu plus haut que mi-cuisse, le bas de son vêtement ondule au grès de son déhanchement. J’imagine aisément ce qu’il peut y avoir sous cette petite toilette fort appétissante. Non, il ne faut pas ! Ne surtout pas penser à ce genre de truc !
    
    — Ah oui, faut pas que j’oublie…
    
    Elle s’approche d’une bibliothèque qui tapisse le couloir, elle tend le bras pour attraper un livre sur le dernier rayonnage. Elle se perche sur la pointe des pieds, et de ce fait, le tissu remonte dangereusement. Waow ! C’est quoi ces bandes un peu plus foncées qui lui barrent le haut des cuisses ? Elle porte des bas ? Quand même pas avec un porte-jarretelles !
    
    Nous nous arrêtons devant le distributeur. Elle me dit avec un petit sourire charmeur :
    
    — Attendez-moi ici, je reviens tout de suite…
    
    Puis elle s’éloigne de la salle de pause par l’autre porte, ce qui me permet d’avoir une fois de plus une très belle vision de son déhanché, et du balancement de ses fesses. Je soupire en la voyant disparaître de ma vue. Au moins, la tentation a disparu. Je commence à comprendre les soucis auxquels Saint Antoine a été soumis ! Cependant, je n’arrive pas à comprendre pourquoi Amandine me met dans un tel état. Pourtant je ne suis pas en manque, avant-hier, j’ai fait l’amour de façon dantesque avec une maîtresse de fraîche date très hot, que le mari n’arrive plus à assouvir.
    
    — C’est bon, j’ai le pass !
    
    Amandine revient vers moi, un badge en main, ...
    ... celui du distributeur, je suppose. C’est pire encore par-devant ! Tout ondule sensuellement en elle, sa tête brune, ses seins pointus, son mignon ventre, son bassin sensuel ! De plus, elle a de ces jambes ! Oui, c’est ça, se concentrer uniquement sur ses jambes, c’est moins périlleux que son haut. Oui, de belles jambes galbées, qu’on aimerait caresser, pétrir, embrasser. Non, finalement, se concentrer sur ses jambes n’était pas une si bonne idée.
    
    — Allez-y, faites votre choix, Viannet.
    — Merci…
    
    Nous nous installons dans un coin, Amandine étant assise face à moi, ce qui révèle ses genoux. Elle attaque d’emblée en me demandant :
    
    — Alors, toujours célibataire ?
    — Oui, toujours… Bien qu’il y a deux ans, j’ai cru que je ne le serais plus…
    — Ah bon ? Racontez-moi ça !
    — Ce n’était pas une stagiaire, mais une vendeuse. C’est en commençant à vivre sous le même toit quelques week-ends par ci et par là que je me suis aperçu qu’elle n’était pas telle que je le pensais.
    
    Elle croise et décroise ses jambes :
    
    — C’est-à-dire ?
    — Elle avait souvent des idées très arrêtées : une seule façon de faire les choses, la sienne.
    — Et ça vous a fait fuir… Je vous comprends, mon ex était comme ça.
    — Dans ce cas, vous comprenez parfaitement mon point de vue.
    — Oui, parfaitement, hélas ! Ça m’a coûté un mariage !
    
    Elle soupire un grand coup puis elle se penche un peu vers moi, ce qui me permet de mieux admirer l’échancrure de son corsage. Ça ne m’aide pas trop à reste zen, mais ...
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