1. L'artiste peintre et son modèle


    Datte: 02/12/2022, Catégories: fh, fplusag, rousseurs, grossexe, poilu(e)s, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fsodo, Humour occasion, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... plaisait assez. Et après tout, poser pourrait être assez intéressant. Elle ne pouvait pas nier son goût pour la peinture. C’était une fondue d’expos diverses.
    
    — Et ton frère, c’est quel genre de mec ?
    — Un gars sympa, très cool, quarante ans, le genre barbu et chevelu un peu débraillé, pas du toutlatin lover.
    — Tu me rassures, je ne veux pas d’ennuis avec mon nouveau compagnon, j’ai eu assez de mal à le trouver.
    — Euh… je dois te prévenir qu’en général, ses modèles passent à la casserole.
    — T’inquiète ! Je saurai me défendre. Et puis bon, je n’ai plus vingt ans comme la plupart des modèles de peintre.
    — Méfie-toi quand même. Bon, c’est oui ?
    — D’accord ! Je vais au moins faire un essai. Après tout, est-ce que je lui conviens ? On n’en sait encore rien.
    
    C’est sur cette interrogation, mais aussi sur une ouverture que Corinne laissa son amie avant d’en rendre compte à son frère. Elle se fit l’intermédiaire pour un rendez-vous dès le lendemain à l’atelier du peintre.
    
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    Mylène débarqua un peu contractée à l’atelier. Se déshabiller entièrement devant un inconnu, même avec des pinceaux, ne tombait pas sous le sens. Elle découvrit une espèce de faune sympathique et décontracté, tout à fait artiste, qui sut la faire rigoler et la mettre à l’aise. La proximité avec sa sœur fut l’objet de conversations préliminaires, histoire de mettre Mylène en confiance.
    
    — Ce n’est pas la femme que je vais voir, mais le modèle, l’assura-t-il.
    
    Il la fit mettre sur une ...
    ... espèce de piédestal, assise le coude droit sur le genou droit relevé, et le menton dans la main droite comme sur le tableau. Pas très confortable !
    
    — Toutes les dix minutes, tu pourras te détendre et changer de position avant d’y retourner, dit le peintre à Mylène, qui nota le tutoiement.
    
    La position arrangeait bien le modèle qui ne souhaitait pas montrer son sexe. Mais quand elle se détendait, elle était bien obligée de révéler le triangle roussi de son pubis et le reste de son anatomie.
    
    — Tu as un beau cul, bien joufflu, comme ma sœur, dommage que je ne puisse pas le peindre ! lui lança Frédéric, devenu grivois.
    
    Néanmoins, il ne fut pas vraiment satisfait de ses premiers coups de pinceau. Pour correspondre au tableau de Manet, il fallait que le modèle affiche un air un peu provocant ou au moins malicieux. Or, le visage de Mylène marquait une certaine réserve, comme si elle subissait son travail. Le peintre le lui dit sans ambages :
    
    — Tu parais un peu coincée. Il faudrait que tu te lâches un peu.
    — J’ai du mal, avoua Mylène. Mets-toi à ma place. Poser à poil à mon âge devant un inconnu, ça n’a rien d’évident.
    — C’est vrai ! Écoute, on va tenter un truc. Je vais me mettre à égalité avec toi. Je vais me foutre à poil. Au moins, ça te fera peut-être rigoler.
    
    Et il s’exécuta illico. Mylène découvrit un corps certes pas dans les canons de la beauté masculine avec son abondant système pileux et son petit ventre rond, mais terriblement sexué. En particulier entre ...
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