1. La nuit de tous les risques : partie 2


    Datte: 01/12/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: GCG, Source: Hds

    ... la soulevai par le bras et la plaça sur le lit à son tour, elle se coucha automatiquement sur le dos, les jambes écartées.
    
    Elle me stoppa alors que je me jetai sur elle.
    
    — Attends, ne la déchire pas celle-là, elle est faite pour les salopards dans ton genre…
    
    Elle fit sauter deux pressions, et la bande qui couvrait son entrejambe sauta, me livrant à présent sans obstacle son espace intime.
    
    Je lui grimpai dessus sans attendre, l’enlaçant pour l’embrasser avec amour durant plusieurs secondes.
    
    — Vas-y, défonce-moi !
    
    Elle ne voulait pas faire l’amour, non tout ce qu’elle voulait c’était se faire baiser. Je n’avais aucun souci avec ça, je comptais de toute façon la tringler comme une salope, la faire hurler à en réveiller tout le quartier.
    
    Elle attrapa mon membre et le guida vers sa fente pendant que je soulevais ses jambes, posant ses genoux sur mes épaules et plaquant ses cuisses contre mon buste. Mes mains attrapant ses globes laiteux avec poigne, pinçant les tétons avec force tandis que je la pénétrais aisément, tant sa cavité était inondée, motivée à l’idée de se faire prendre. Mon gland écarta facilement ses lèvres gorgées d’envie, me laissant découvrir un vagin complètement dilaté. Elle poussa un soupir lorsque nos pubis s’entrechoquèrent, indiquant que l’entièreté de mon sexe était en elle. Je voulais commencer en douceur, mais très vite, elle me fit comprendre que même cela, elle n’en voulait pas.
    
    Ses mains plaquées sur mes fesses me secouaient ...
    ... presque, s’insurgeant contre ma lenteur, m’exhortant à passer la vitesse supérieure.
    
    Ne voulant pas la décevoir, je m’appliquais à donner à mes mouvements plus d’amplitudes et de vigueur. Elle se mit à hausser le ton lorsque mes couilles tapèrent violemment contre son cul. Bientôt, elle pourrait l’entendre. Cette situation m’enivrait au plus haut point, et ma femme était en pleine extase.
    
    J’embrassais ses mollets tout en la labourant copieusement, lorsque, sans prévenir, elle se mit à crier.
    
    Elle allait jouir, c’était le moment de tout donner.
    
    Extatique, elle n’était plus maîtresse d’elle-même, son corps n’obéissant plus à son cerveau mais à ses pulsions. Dans une série de mouvements désordonnés, ses mains allaient de sa poitrine à mon corps, ne sachant pas qui elles devaient toucher, ni où. Je relevais son bassin plus haut encore, lui tenant les jambes par les chevilles, de façon à les éloigner le plus possible l’une de l’autre. Elle se tortillait dans tous les sens, provoquant à chaque coup de rein une giclée couvrant le matelas de son nectar. Je n’aurai su dire si j’avais joui ou s’il s’agissait uniquement de son liquide blanchâtre et collant qui tapissait nos sexes, mais tout cela devint futile, car moi aussi j’approchais de l’orgasme.
    
    Elle se mordait les lèvres, accompagnant à contre sens mes coups pour en augmenter la brutalité.
    
    Soudain elle marqua une pause, l’air préoccupé et curieuse.
    
    — Attends, tu entends ?
    
    Tout d’abord j’eu peur que les enfants ...