1. La nuit de tous les risques : partie 2


    Datte: 01/12/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: GCG, Source: Hds

    À la suite de cette agréable petite parenthèse lors de notre arrivée, le reste de la journée se déroula « normalement », dirons-nous.
    
    Après être redescendu, je retrouvai ma femme et mes enfants, jouant dans le jardin avec leur grand-père. Ma belle-mère nous rejoignit une dizaine de minutes plus tard, mon envie pour elle ne cessant de croître à chaque fois que son corps entrait dans mon champ de vision. Et tandis que chacun s'affairait au bonheur de nos garnements, je préparais la table en me demandant si, durant ce laps de temps ou elle s’était isolée, elle n’avait pas pris un instant pour se détendre en solo...
    
    Je l’imaginais donc, confortablement installée dans une des chaises en rotin entreposées dans son grenier, écartant les jambes avec la plus grande amplitude possible afin de ressentir au maximum les effets de son imminente masturbation. Les yeux clos, repensant à notre petit aparté, ses mains effleurant doucement l’intérieur de ses cuisses, remontant vers sa vulve humide et gonflée d’une envie irrépressible que nous nous étions promis d’assouvir plus tard dans la soirée, avec nos partenaires respectifs.
    
    Ou plus précisément, que de mon côté, je lui avait concédé en ce jour de fête.
    
    Un rapide coup d’œil aux alentours, et je fus rassuré. Car tout le monde s’amusait à l’extérieur. Sans personne dans les parages, je pouvais donc continuer ma petite histoire, qui m’avait déjà flanquée d’une belle érection.
    
    Assise confortablement, elle portait sa main sur ...
    ... ses grandes lèvres frétillantes d’excitation, la seconde préférant s’attarder sur un de ses mamelons, qu’elle maltraita avec la même force qu’appliquée quelques minutes auparavant sur mes parties.
    
    L’index et l’annulaire écartant ses chairs alors que son majeur titillait son joli bouton rose.
    
    Je la voyais perdre le contrôle petit à petit, subissant les affres du plaisir intense et solitaire auquel elle s’adonnait, sa respiration devenant de plus en plus difficile, presque haletante, ses mouvements rendus saccadés, spasmodiques même, alors que la jouissance approchait.
    
    Ses muscles devenaient douloureux sous l’effort, mais l’envie d’arriver au bout de cette course et d’arracher ce trophée tant convoité devait être sa seule préoccupation. Mon imagination débridée la représentait à présent la paume posée sur la bouche, tentant d’étouffer ses petits cris, le bout de son majeur effectuant des vas et viens à vive allure à l’intérieur de sa grotte humide, laissant s’écouler des gouttes de cyprine tombants sur le parquet, utilisant toute la longueur de son doigt pour stimuler dans un même temps son clitoris, ce qui la rendait folle.
    
    Soudain ma femme entra, et je me rendis compte que j’avais été trop absorbé par ma petite histoire imaginaire, ne prêtant plus assez attention à tout ce qui m’entourait.
    
    — Ça va mon cœur ? Tu t’en sors ?
    
    Je la regardais en faisant la grimace.
    
    — C’est vrai que c’est tellement compliqué de dresser une table…
    
    Elle avait noté ma note ...
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