La nuit de tous les risques : partie 2 - Histoires de Sexe

La nuit de tous les risques : partie 2

... plus grand bonheur. Oui c’est égoïste, mais parfois, il est bon de penser à soi aussi !

Ma femme m’attendait à l’étage du dessus, dans notre chambre, seulement espacée de celle de ses parents par une salle de bain. Mais nous savions, pour l’avoir éprouvé durant notre jeunesse, que cette pièce n’isolait rien du tout, et que tout ce qui se passait dans une chambre pouvait être entendue dans l’autre, pour peu que l’on tende l’oreille ou qu’il n’y ait pas de bruit parasite.

Après tout ce tumulte, le silence religieux qui régnait dans la maison me fit un bien fou.

Mais conformément à notre pacte, cela allait être de courte durée.

Elle me regarda d’un air malicieux, et je sus immédiatement que nous n’allions pas tarder à commencer les hostilités, ce qui, en plus de m’enchanter, n’allait rendre ma mission que plus simple à exécuter.

Elle se tenait debout à côté du lit, occupée à dégrafer sa robe olive.

— Tu peux m’aider à l’enlever s’il te plait ?

Je ne me fis pas prier.

Elle plaça son dos contre mon torse, vérifiant à l’aide de sa croupe si mon sexe était toujours au garde à vous, et il l’était.

Je m’employais à défaire les attaches, lorsqu’elle se frotta un peu plus fort encore, sa robe finissant par glisser sur sa peau pour échouer au sol sans un bruit.

— Je te plais ? me dit-elle sensuellement tout en me regardant droit dans les yeux après un bref demi-tour.

Effectivement cela m’envoûtait, énormément même.

Elle arborait un ensemble noir, aux ...

... motifs travaillés, mettant parfaitement en avant ses magnifiques courbes. Des jarretelles pendaient le long de ses cuisses épaisses et son bonnet G était superbement tenu par des demi-cercles, lui conférant un aspect encore plus proéminent. Aucun doute, je mourrais d’envie de me plonger dans ce corps tout entier, et d’en redécouvrir les moindres aspérités. Sa longue chevelure brune, qu’elle balançait sur son épaule droite, répandait dans la pièce un mélange subtil de parfum et de sueur, cocktail hautement érotique.

Elle me poussa en arrière de ses deux mains, et je tombai assis sur le bord du lit, me rattrapant de justesse en utilisant mes paumes comme appui.

— Tu as toujours envie de moi ? crachat-elle sur un ton de défi.

— Comment ne pas avoir envie de toi ?

J’étais on ne peut plus honnête.

Elle défit ma ceinture et enleva d’une seule traite mon pantalon et mon caleçon avant de déposer un bisou, du bout des lèvres, sur ma bouche.

Elle défit son corsage et ses deux énormes seins sautèrent de leurs prisons. Elle effectua quelques mouvements de langue tout autour de ma verge décalottée pour mieux l’envelopper ensuite de son manteau de chair opulent.

Dans un tempo ni trop rapide ni trop lent, elle fit monter notre désir crescendo. Je profitais de l’instant, alternant entre la vision de son joli visage, et celui de sa poitrine avalant mon gland avant de s’abattre lourdement sur mes couilles, me laissant échapper un râle de bien être à chaque aller-retour. Je ...