Confinement 2020 (2) - Histoires de Sexe

Confinement 2020 (2)

... avant la prochaine réunion de jeudi prochain.

— Enchantée Madame Perrier. Le hasard fait bien les choses, car je ne sais pas du tout en quoi consistent ces réunions et votre aide me sera précieuse.

— Si je puis vous être utile, nous pourrions prendre le café cet après-midi chez moi.

— Bien volontiers, vous êtes bien aimable.

— Disons 14h si cela vous convient. Sonnez au numéro 37 3ème étage.

— Merci, j’y serai.

— A tout à l’heure Madame Leblois.

14h Mme Leblois se présente chez Karine. Mignone femme elle aussi un peu enrobée à la poitrine généreuse qui semble être libre sous un pull très décolleté en V, cheveux châtains noués en chignon, habillée d’une minijupe plissée façon écolière, mais qui ne détonne pas avec son âge qui doit tourner autour des 40. Les jambes gainées de bas noirs probablement tenus par un porte-jarretelles.

Comme convenu, Adrien avait installé sa caméra wifi dans le lustre au-dessus du canapé du salon et connectée à son ordi dans sa chambre. Le fauteuil face au canapé était encombré de bouquins et de dossiers de manière à ne laisser des places assises que sur le canapé bien dans le champ de la caméra.

— Asseyez-vous Madame Leblois, Christine je crois ?

— Oui c’est cela, vous êtes gentille de m’accueillir.

— C’est normal, vous êtes nouvelle dans l’immeuble, il est bon de faire connaissance. Vous avez remplacé Monsieur Jacquet que je voyais souvent sur son balcon comme vous ce matin.

— Oui j’ai acheté ce studio à ...

... l’occasion d’une nouvelle affectation dans mon administration. Je viens d’Angoulême et je pense que je vais me plaire ici.

— Je vous sers un thé ou un café ?

— Un thé s’il vous plaît.

Lorsque Karine revient de la cuisine, elle a dégrafé un bouton supplémentaire de son corsage de manière à bien montrer la raie de séparation de ses seins à peine cachés. En servant le thé, penchée vers son invitée, elle se rend compte que Christine a le regard plongé dans son corsage.

— Serait-elle intéressée ? pense Karine qui s’assoit très près d’elle en observant la jupette remontée par la position assise qui dévoile le haut de ses bas.

La discussion, ponctuée par quelques gorgées de thé, tourne autour de la vie de l’immeuble.

D’une manière insidieuse, Karine pose une main sur la cuisse dénudée de Christine en esquissant une caresse. La visiteuse repousse gentiment cette main. Karine reprend son geste cette fois en direction de la poitrine de Christine, mais même réaction.

N’y tenant plus, la maîtresse de maison se rue littéralement sur celle qui devient sa proie, la couche sur le canapé en lui maintenant les poignets pour l’empêcher de se débattre.

— Qu’est-ce que vous faites, vous êtes folle ?

Les mains entravées, c’est avec ses jambes qu’elle se débat en ruant comme un cheval.

— Arrêtez, mais vous êtes folle !

Karine a introduit une jambe entre les cuisses de Christine et entreprend de lui caresser l’entrejambe avec son genou. Tout en lui maintenant fermement les ...