Confinement 2020 (2) - Histoires de Sexe

Confinement 2020 (2)

... laissant choir sur le sol.

Adrien s’est retiré et n’ayant pas joui, termine le jeu en se branlant sur les seins de Karine.

— J’aurais préféré avaler ton jus, mais nous recommencerons si tu es d’accord, et ça, ta mère ne te fait pas trop honte.

— Tu plaisantes ? Tu m’offres les plus beaux plaisirs de ma jeunesse.

— Alors il faudra que je t’apprenne d’autres jeux, dès que le déconfinement sera allégé, j’aimerais faire une partie à trois, une queue dans mes deux trous à remplir de sperme. Qu’en penses-tu ?

— Tu es vraiment une sacrée salope. Mais oui je suis d’accord, nous en reparlerons. En attendant, j’aimerais te voir t’exhiber à moitié nue sur le balcon et peut-être exciter le voisin d’en face.

— Tu te trompes, il a déménagé et c’est une voisine qui semble être seule.

— Imagine que cette femme te voit depuis son balcon et qu’elle insiste pour regarder, te mater en quelque sorte, ça te déplairait de te faire gouiner ?

— Je ne sais pas, j’ai quelques fois eu ce fantasme en visionnant des vidéos de lesbiennes, mais j’ai surtout fantasmé sur toi quand j’ai découvert que tu te branlais sur mes sous-vêtements.

— Je te propose un gage : tu essaies de la rencontrer et de l’aguicher pour voir si elle répond. Si ça marche, tu l’amènes ici, j’installe une caméra cachée et je vous filme en train de vous gouiner.

— Mais dis donc Monsieur Adrien, tu ne serais pas un peu vicieux et voyeur ? Ton idée me plaît, mais je ne promets rien, je serai peut-être ...

... obligée de la violer !

Tous les deux partent dans un éclat de rire.

Nous sommes dimanche. Il fait un temps splendide. Ce matin avant de préparer le déjeuner, Karine décide de mettre à exécution son exhibe sur le balcon dans la même tenue qu’hier, mais sans la nuisette et les escarpins. Par chance, la voisine d’en face est elle aussi sur son balcon et effectivement en apercevant Karine, elle s’accoude à la balustrade et maintient son regard braqué. Notre soumise considérant qu’une petite apparition suffit, revient tout habillée en ayant passé une minijupe et une légère veste sur ses épaules comme si elle devait sortir. Ce qui est vrai, après avoir prévenu Adrien qu’elle avait deux trois courses à faire à la supérette du coin ouverte le dimanche matin, elle sort dans le secret espoir très hypothétique de rencontrer sa nouvelle voisine. Tout en se promenant nonchalamment au bas de l’immeuble, elle scrute la porte d’entrée du bâtiment en vis-à-vis du sien, mais en vain, aucun mouvement. Curieuse, elle s’approche du tableau indiquant les habitants.

Uun seul nom lui est inconnu : Christine Leblois. Il s’agit donc de la voisine d’en face. Soudain miracle ! la porte s’ouvre, trois personnes sortent, un couple que Karine connaît bien et qu’elle salue puis la dame d’en face.

— Bonjour Madame Leblois, je suppose ? Je suis Madame Perrier, Karine Perrier, je fais partie du Syndic de l’immeuble, nous ne nous sommes jamais rencontrées, mais je profite de l’occasion pour vous saluer ...