1. Dépannage à domicile


    Datte: 29/08/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail fdomine, hdomine, pénétratio, fsodo, Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe

    ... rappellerai demain pour vous renseigner.
    
    François est parti assez heureux. Cinquante euros, cela l’arrange bien. L’espoir de pouvoir faire la réparation. En plus de ça, il s’est payé un jeton, la robe de chambre de la femme s’est entrouverte quand elle s’est baissée et il a aperçu un sein libre de tout soutien-gorge et cela était, ma foi, très appétissant.
    
    Fabienne, bien que détestant ce genre de mâle, apprécie son travail. Mais demain matin, elle téléphonera à une société de dépannage. Elle leur demandera leurs tarifs auparavant, l’homme a probablement exagéré afin d’obtenir un meilleur dédommagement.
    
    Les deux sociétés consultées ont des tarifs semblables, à quelques euros près, mais exorbitants. Elles ont toutes détaillées tous les éléments de la facture, près de trois cents euros au minimum, plus le coût de la pièce. Autant appeler le dénommé François.
    
    Le coup de fil de Fabienne ne l’a pas surpris. Elle a dû se renseigner, elle a compris qu’il ne lui avait pas menti.
    
    — Monsieur François, pourriez-vous venir me remettre en état mon installation.
    — Oui, naturellement. Mais je ne serai chez vous que dans une paire d’heures car je viens avec le bus.
    — Mais pourtant hier vous êtes arrivés rapidement !
    — Hier, j’ai emprunté la voiture de mon père, mais aujourd’hui il l’a prise pour aller travailler.
    — Bien, venez le plus vite possible.
    
    François ne s’est pas pressé. Il a pris le bus, s’est rendu chez le fournisseur pour prendre la pièce nécessaire, 37, 04 €, ...
    ... la réglant avec l’argent qu’il a perçu la veille. Il a sonné chez sa cliente une heure et demie après le coup de fil.
    
    — Madame, je suis passé acheter la pièce afin de perdre moins de temps.
    — C’est bien. Pensez-vous avoir fini avant midi ?
    — Je l’espère mais je ne peux vous le garantir.
    — Alors, mettez-vous vite au travail.
    
    François sourit en son for intérieur, il en a pour guère plus d’une demi-heure, mais il va un peu traîner. Car cette femme, si elle est très belle – il la baiserait volontiers – est aussi très autoritaire et désagréable. D’ordinaire la gent féminine le trouve craquant comme disent ses copines, mais mon charme n’a pas l’air d’opérer sur elle.
    
    C’est à midi moins le quart qu’il va prévenir sa patronne que le travail est terminé.
    
    — Est-ce que ce sera solide ? lui demande-t-elle.
    — Madame, je suis plombier depuis dix ans si l’on compte l’apprentissage.
    — Bien, combien vous dois-je ?
    — Voici la facture que j’ai réglée pour la pièce, plus la main d’œuvre.
    
    Fabienne est surprise de la modicité du prix de la pièce. Il a travaillé deux heures, plus son déplacement je vais lui proposer 150€, ce sera une sacrée économie par rapport aux sociétés de dépannage. Quand elle lui a proposé la somme, intérieurement il a sauté de joie. Pourtant il a pris un air dubitatif, mais a finalement accepté.
    
    — Monsieur François, je vous remercie. Si toutefois j’avais besoin de vous, pour d’autres types de travaux je peux vous appeler ?
    — Naturellement. Au revoir ...
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