1. Mes retrouvailles avec Lucile


    Datte: 26/11/2022, Catégories: h, fh, hplusag, jeunes, profélève, noculotte, BDSM / Fétichisme Oral extraconj, Auteur: Duby, Source: Revebebe

    ... cohérent. On va se demander comment je gère. Puis il est un peu pourri ce salon, tu sais.
    — Non, mais t’inquiète, de toute façon ça m’arrange, le samedi soir, je suis invité chez des amis.
    
    La discussion dériva sur les amis en question.
    
    Arriva ce fameux vendredi où Lucile et moi étions tous les deux à la maison. Et il ne se passa rien. J’étais à l’affût, croyant que peut-être elle se jetterait sur moi, portée par un désir fou. Mais ça, c’était la différence entre un fantasme et une réalité. En fait, nous avons simplement mangé ensemble le midi, en copains. Elle portait une jupe légère qui s’apparentait presque à une jupe de tennis et un petit haut bleu marine très opaque (difficile de percevoir grand-chose de ses seins). Elle se baladait en tongs dans la maison, nous étions dans deux pièces proches l’une de l’autre, mais les heures passaient…
    
    Vers 16 h, j’entendis un bruit sourd suivi d’une injure qui ne rendait pas grâce à sa voix.
    
    — Lucile ?!
    — Désolé, je viens de me cogner le genou !
    — Ça va ?
    — Oui, oui.
    
    Je me levai tout de même pour aller la voir. Elle était dans la cuisine à se prendre un coca et un petit goûter (les habitudes se perdent difficilement), et s’était tapé le genou droit contre un tiroir bas resté ouvert.
    
    — Bah alors, tu sais plus où tu marches ?
    — Je sais pas, je devais être distraite… ça fait hyper mal.
    
    Et effectivement, on voyait une grosse éraflure.
    
    — Attends, je vais te filer une crème à l’arnica. Peut-être que ça soulagera ...
    ... ton gros bobo ! lui dis-je en la taquinant. Elle me tira la langue en guise de réponse.
    
    Sophie rentra du boulot vers 17 h 30. Nous n’avions pas grand-chose à raconter après cette journée passionnante ! Mais au moins, Lucile avait avancé sur son mémoire ou rapport de stage. Elles firent un rapide point toutes les deux après manger. Ma compagne, qui devait se lever vers 5 h 30 pour rejoindre le salon qui lui ferait la journée, décida d’aller se coucher alors qu’il n’était que 21 h 30. Il était rare que je passe du temps avec Lucile le soir, comme ça, à deux dans le salon. Elle était assise à ma gauche, sur le canapé, les pieds posés sur la table basse. Elle portait toujours sa jupe de tenniswoman, mais un gilet recouvrait désormais le petit haut marine. Nous regardions une émission de questions-réponses sans grand intérêt, commentant certaines des réponses. Je lui demandais comment allait son genou et elle me dit qu’elle sentait comme un hématome, mais que ça irait.
    
    — Je vais remettre un peu de crème d’ailleurs, ça m’évitera d’avoir un gros bleu bien moche.
    
    Et elle alla la chercher dans « sa » chambre. Elle revint avec le tube, et c’est là que je constatai qu’elle n’avait plus de soutien-gorge, ce que je n’arrivais pas à savoir depuis la fin d’après-midi. On devinait des tétons durcis par la fraîche qui tombait déjà.
    
    Elle fit sortir une toute petite noisette de crème translucide qu’elle étala sur le genou endolori. Je la regardais faire du coin de l’œil.
    
    — À mon ...
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