1. Mes retrouvailles avec Lucile


    Datte: 26/11/2022, Catégories: h, fh, hplusag, jeunes, profélève, noculotte, BDSM / Fétichisme Oral extraconj, Auteur: Duby, Source: Revebebe

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    — C’est pas comme si je m’étais pris trente kilos sur le genou, me répondit-elle.
    — Quitte à en mettre…
    
    Je pris le tube et en fit sortir ce que j’estimais être la vraie quantité nécessaire.
    
    — Et maintenant, tu fais quoi ? ajouta-t-elle en rigolant.
    
    C’est vrai que je me retrouvai un peu con avec ma crème à la main. Mais qui ne tente rien, n’a rien.
    
    — Maintenant, je l’étale en faisant des cercles qui font bien rentrer la crème dans la peau, dis-je en joignant le geste à la parole.
    
    Elle fut sans doute un peu surprise, car son sourire disparut et son corps sembla frissonner. Je dessinais lentement des cercles de crème et avec la paume je caressais ce genou endolori par le tiroir de la cuisine.
    
    La crème était désormais entrée et le silence se fit. Ma main restait sur son genou et descendit légèrement vers le tibia puis remonta lentement vers la cuisse nue de Lucile. Elle me regarda et, tendant ses lèvres vers les miennes, m’embrassa. Tournés l’un vers l’autre, nous nous embrassions dans le canapé sur lequel la chatte de Sophie m’avait accueilli tant de fois.
    
    Ma main remonta vers sa culotte et, ô surprise, il n’y avait pas de culotte ! Je sentais le léger triangle de poils contre ma main. Mon index et mon majeur partirent à la découverte de cette petite forêt qui n’avait probablement pas souvent été explorée. J’écartais ses lèvres et sentis que le règne de l’humidité avait débuté depuis déjà de longues minutes. Sa langue était chaude, et ...
    ... ses mains cherchaient mon corps, se glissant sous mon polo puis cherchant à sentir le poids et la tension de mon sexe sous mon jean. Sa main gauche caressait la colline qui se dessinait sous ma braguette et je la suppliai de libérer ma queue, ce qu’elle fit au bout de quelques secondes.
    
    Que c’était bon de respirer enfin. Je sentais ses douces mains sur moi, ses ongles fins qui remontaient des testicules vers le gland, me faisant frémir chaque fois un peu plus.
    
    Moi qui pensais qu’elle n’avait probablement pas eu beaucoup d’expériences, je commençais à sérieusement en douter tant elle savait manier le manche avec délicatesse.
    
    — Je pourrais te faire jouir avec ma main gauche, tu sais… ? me susurra-t-elle à l’oreille.
    — Oui, oui, je sais…
    — Mais je vais pas le faire…
    — Pourquoi ?
    — Parce que tu es galant, et que tu me dois quelque chose.
    — Quoi ?
    — C’est pas toi qui a fouillé dans mes sous-vêtements, par hasard ?
    
    Je ne répondis pas, m’efforçant simplement de ne pas lui remplir les mains…
    
    — Je sais que vous avez fouillé dans mes culottes. Vous êtes un gros cochon. Alors maintenant, votre main droite va s’activer, Monsieur. Et pas sur votre queue, mais sur ma petite chatte, qui a très envie de miauler.
    
    Je n’en pouvais plus, l’entendre parler comme ça ne faisait que m’exciter davantage ; mais elle relâcha mon sexe. Mes mains qui avaient perdu leur position initiale se réengagèrent rapidement sur le front et tout en l’embrassant, je pus – enfin ! – toucher et ...
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