1. Mes retrouvailles avec Lucile


    Datte: 26/11/2022, Catégories: h, fh, hplusag, jeunes, profélève, noculotte, BDSM / Fétichisme Oral extraconj, Auteur: Duby, Source: Revebebe

    ... sur la fraîcheur de ses seins ; sur l’odeur de son sexe…
    
    Ne résistant plus, je pris une pause… qui m’amena dans la chambre de Lucile. Finalement, c’était chez moi, j’avais aussi le droit d’entrer dans cette pièce. Elle ne le saurait pas.
    
    Le lit n’était pas fait, son pyjama à carreaux était posé en vrac sur l’oreiller. Je percevais son doux parfum dans la pièce. C’est alors que je vis ses deux grands sacs de voyage posés de l’autre côté du lit. Je m’approchai et entrepris de fouiller ce qui ressemblait davantage à des valises qu’à des sacs. Dans le premier, je trouvais des vêtements, plus légers que ce qu’elle avait porté jusque-là, mais la météo s’y prêtait. Un gros pull, deux-trois jeans et pantalons… rien de très intéressant. Le second fut bien plus croustillant. Après avoir regardé à quoi ressemblaient les jupes et robes, je tenais dans mes mains l’ensemble de ses sous-vêtements. Et c’était bien plus varié que ce que je croyais. Les soutiens-gorge étaient simples, efficaces, tels que je les percevais, mais les bas, à l’exception de quelques culottes unies en coton, étaient bien plus sexys : strings, tangas, shortys, il y avait de tout. Je pris un string orange en dentelle et le portai à mes narines… Déception, il sentait la lessive, évidemment. String toujours en main, je me fis la réflexion qu’elle devait porter autre chose hier. Je cherchais un peu partout et finis par trouver un grand sac en coton dans lequel elle rangeait son linge sale. Une culotte rose ornée ...
    ... de dentelle se trouvait dedans… hmmm, les effluves qui s’en dégageaient étaient une ode au sexe féminin.
    
    Quelques secondes plus tard, le pantalon descendu aux chevilles, je me masturbai à l’aide de son string dans la main droite tout en reniflant cette culotte portée la veille que je tenais dans la main gauche. Il ne me fallut que quelques secondes pour envoyer des flots de sperme dans le lavabo de la salle de bain.
    
    Un peu honteux, je rangeai tout ce que j’avais trouvé et repris des activités professionnelles plus sereinement, étonnamment.
    
    Quelques jours plus tard, un lundi je crois, en dînant, nous parlions du mémoire que devait écrire Lucile pour son stage. Elle avait visiblement pris pas mal de retard et s’inquiétait de ne pas être dans les temps. Ma compagne, toujours aussi sympathique, avait obtenu qu’elle prenne deux jours à la maison – lundi ou vendredi – pour rédiger, si elle en ressentait le besoin. Tout ça ne fit qu’un tour dans ma tête et j’imaginais déjà Lucile et moi, seuls à la maison. Si notre imagination est souvent éloignée de la réalité, ça n’est pas toujours le cas, alors, sait-on jamais !
    
    — Ah, et n’oublie pas que samedi, je suis au salon de livre de Goilpeau, hein ! me dit ma compagne
    — Ah… oui, bah j’avais oublié. Lucile, tu y vas aussi ?
    — Non, Sophie ne veut pas ! dit-elle en rigolant.
    — C’est vrai ?
    — C’est pas ça, c’est que si je lui obtiens des jours pour bosser à la maison et qu’en plus le samedi, elle fait des salons… c’est pas très ...
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