1. La bourgeoise et le marabout (70)


    Datte: 25/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... Marie-Henriette à quatre pattes, se place derrière elle, retire d’un coup sec le plug planté entre les fesses puis dit à ses copains :
    
    — Regardez comme son cul est bien ouvert pour nous. Son fils l’a vraiment bien dressée.
    
    Aussitôt, profitant de la porte grande ouverte qui s’offre à lui, il plante sa bite dans le cul de Marie-Henriette. Elle a dû recevoir des consignes de son fils pour exprimer tout son contentement d’être ainsi le jouet de ces quatre vieux lubriques pervers.
    
    — Oui, enculez-moi bien François, c’est si bon.
    
    — Et vous, continuez à profiter de moi.
    
    — Je suis dressée pour être votre salope, n’hésitez pas.
    
    Je sais que pendant le reste de l’après-midi, les quatre compères vont se succéder dans les différents orifices de Marie-Henriette. Ils vont jouir dans sa chatte, son cul et sa bouche à tour de rôle, ou bien à deux ou à trois en même temps. Je sais que lorsqu’ils seront un peu fatigués, une petite pause leur fera le plus grand bien. Et je sais aussi que Jean, médecin à la retraite, va distribuer quelques comprimés bleus à ses trois copains pour les rebooster et leur permettre de poursuivre sereinement ce bel après-midi de ...
    ... débauche.
    
    Marc Antoine en a certainement assez vu, car il pose ses deux mains derrière ma nuque et m’oblige à bien coller mon visage contre son bas-ventre. Il se raidit, j’ai son gland au fond de la gorge et j’ai un peu de difficultés à respirer. Mais cela ne dure pas longtemps, car soudain il se répand en moi et ses longs jets de foutre se déversent directement dans mon gosier. Je déglutis et avale directement tout son foutre.
    
    Il m’aide à me relever, m’embrasse sur la bouche puis me dit :
    
    — C’est parfait ! Ma mère a parfaitement compris ce que François et ses copains attendent d’elle. Nous pouvons partir.
    
    Puis il poursuit :
    
    — Je ne doute pas que vous comprendrez vous aussi ce que j’attends de vous lorsque nous serons arrivés chez mon ami qui a un petit élevage de chevaux.
    
    Quelques minutes plus tard, nous sommes dans sa voiture et quittons Paris par l’autoroute A13.
    
    Tout en conduisant, Marc Antoine pose sa main droite sur ma jambe, remonte jusqu’à mon entrejambe et déclare :
    
    — Quelle belle pouliche vous faites.
    
    Je ferme les yeux et je revois Marie-Henriette saillie telle une jument par un bel étalon lors de la soirée Centaures...... 
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