... apprécier les mêmes choses que moi, permettez-moi de vous montrer une œuvre particulièrement érotique. Puis, se tournant vers sa mère, il enchaîne.
— Mère, veuillez retirer votre robe que je montre vos charmes cachés à François.
Très docile, Marie-Henriette se lève, se place à quelques mètres devant nous. Regardant son fils droit dans les yeux, elle déboutonne lentement les boutons de sa robe, du haut jusqu’en bas. Comme si elle avait longuement répété le geste, elle fait glisser très lentement sa robe jusqu’à ses pieds. Malgré son âge, sa plastique est superbe. Elle a de superbes seins bien ronds et fermes, des jambes élancées et des épaules particulièrement sensuelles. Sa tenue est des plus érotiques ! Son corset de cuir noir lui fait une taille de guêpe tout en faisant pigeonner ses énormes seins aux aréoles largement dévoilées. Elle porte un ravissant petit string noir et ivoire fendu au niveau du sexe. On peut ainsi voir qu’elle porte un petit anneau d’or à chacune de ses grandes lèvres, cela est particulièrement sexy.
Ses jambes sont gainées de bas noirs retenus par de larges jarretières à ruban de dentelle, comme cela se faisait au temps des courtisanes ou comme en portaient les danseuses de french cancan. Elle est perchée sur de hauts escarpins à fins talons métalliques. Marc Antoine lui demande de se rapprocher et sa mère s’exécute aussitôt. Lorsqu’elle est à portée de main de son fils, ce dernier lui demande de se tourner. Marie-Henriette pivote sur ses ...
... hauts talons et se présente ainsi de dos aux deux hommes assis côte à côte. François peut alors se rendre compte, malgré la mince ficelle du string, qu’un plug anal en inox orné d’un saphir est inséré bien profondément entre les fesses de la mère de Marc Antoine. Devant l’air surpris de François, le fils lui dit.
— Je souhaite que mère soit parfaitement disponible à chaque instant et qu’elle puisse être saillie sans préliminaires. Elle porte donc en permanence ce ravissant rose bud que je lui ai offert peu de temps après le décès de mon père.
Voyant l’air très intéressé de mon mari, Marc Antoine lui dit :
— François, vous semblez apprécier la plastique de ma mère. Peut-être pourrions-nous convenir d’un accord ?
François lui répond :
— Pourquoi pas ! Pourriez-vous m’en dire plus sur le marché que vous me proposez ?
Le jeune homme réfléchit un peu puis se lance :
— Je trouve votre épouse Hélène charmante et j’ai relevé, lors de la soirée Centaures, qu’elle avait de belles dispositions pour les jeux érotiques de toutes sortes. Par ailleurs, vous semblez apprécier les charmes de ma mère et je ne doute pas que vous aimeriez découvrir l’étendue de ses talents.
François confirme ses dires :
— Effectivement, j’aime beaucoup le style de Madame votre mère. Je me réunis régulièrement avec quelques vieux camarades de régiment (Voir chapitre 14 « Soirée pluralité ») qui, je n’en doute nullement, seraient ravis de profiter de sa délicieuse compagnie.
Se tournant ...