1. La bourgeoise et le marabout (70)


    Datte: 25/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... plus tard, une belle femme mature – la soixantaine – vient nous ouvrir. Son visage me dit quelque chose, mais je n’arrive pas à me souvenir où nous nous sommes rencontrés ou croisés.
    
    Elle nous demande de la suivre jusqu’au salon où un homme beaucoup plus jeune, style gentleman-farmer, est installé dans un canapé corbeille Napoléon III en bois noirci. Il se lève, me fait le baise-main en s’inclinant très révérencieusement puis serre la main de François avant de nous demander de nous installer dans les fauteuils d’un beau rouge assorti. François me dit alors.
    
    — Chérie, te souviens-tu de Marc Antoine ? Nous l’avons rencontré il y a un peu plus d’un mois lors de notre soirée à l’Etrier.
    
    A l’évocation du nom de ce centre équestre parisien installé près le porte Dauphine, les souvenirs me reviennent aussitôt en mémoire. Bien sûr ! Ce jeune homme et la femme qui nous a ouvert la porte sont le couple fils-mère avec lequel nous avons sympathisé lors de la soirée des Centaures. C’est au cours de cette soirée que François m’a fait saillir par un poney après avoir été bien prise par un jeune éphèbe superbement monté. Je me souviens maintenant que ce jeune homme, dont le père est décédé, nous avait précisé qu’il avait repris en main les affaires paternelles et sa mère. Cette dernière avait d’ailleurs été l’une des rares participantes à se faire prendre par un cheval lors de cette fameuse soirée Centaure. A ce moment, la femme revient avec un plateau de thé qu’elle pose sur la ...
    ... petite table basse en acajou. Son fils lui dit.
    
    — Mère, asseyez-vous donc avec nous.
    
    Puis, s’adressant à François et à moi, il poursuit :
    
    — Comme vous le savez, Marie-Henriette est ma mère, mais, au-delà des liens du sang, c’est une véritable relation dominant-soumise qui nous unit. Cela peut paraître immoral, mais je souligne que cela ne fait que renforcer notre relation mère-fils. Je dirais en quelque sorte que les liens du foutre sont maintenant aussi forts que les liens du sang.
    
    François lui répond :
    
    — Soyez certains que nous nous garderons bien de vous juger, vous et votre mère. D’autant plus que notre relation mari-épouse n’est pas des plus conformes à la morale. Hélène est gourmande et docile ; je l’autorise à avoir quelques relations extra-conjugales. J’aime aussi le sexe même si je suis plutôt candauliste ; j’adore également faire d’Hélène une belle soumise pour des jeux débridés. Notre première soirée Centaures s’inscrivait d’ailleurs dans cette optique.
    
    Le thé est maintenant servi, accompagné de quelques délicieux biscuits. Alors que François vient d’expliquer à Marc Antoine qu’il travaille au ministère de la Culture, ce dernier lui précise qu’il a assisté il y a quelques années à une sublime exposition au Musée d’Orsay intitulée L’érotisme en peinture : de la Sublime à l’Impure. François lui précise qu’il a visité cette exposition avec un grand intérêt. C’est à ce moment-là que Marc Antoine dit à François.
    
    — François, puisque vous semblez ...
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