1. Rue de la Liberté


    Datte: 25/11/2022, Catégories: fh, hh, grp, hbi, voisins, poilu(e)s, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, Partouze / Groupe yeuxbandés, confession, occasion, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... faire mieux, montrer à ce voisin libertin qu’il vit à côté d’une femelle qui sait combler son mari. Un mari qui est… Chut, si loin…
    
    On nous regarde. On me regarde. Je ne vois pas leur regard, mais mon corps en est le récepteur. Ils doivent comparer. Une femelle suce. Un mâle pompe. Vous donnez combien à la Cocotte ? Et au Marin ?
    
    Un peu plus. Bloquer sa respiration… Saliver… Fermer les yeux pour bien se concentrer… Voilà quelques millimètres de gagnés. Même s’ils ne savent pas que c’est moi, j’ai ma fierté. Merde, je peux faire autant que mon voisin. Qui va venir avec un centimètre ? Il ne faut pas oublier le diamètre. Léon me semble plus gros, énorme même vu de si près et pourtant j’apprécie son mandrin.
    
    Salope. Tu es une salope. Si ton mari te voyait. Oh, mon Dieu, il faudra que j’insiste auprès de Léon et de Léa pour que cela reste un secret entre nous, un moment de folie, la peur de passer le cap de cette nouvelle année toute seule.
    
    Oh, je ne suis pas seule. Autour de moi, on s’active aussi. Qui de mon voisin ou de moi déclenche tant de cris, de gémissements, de sexes pompés, de chattes remplies, de culs labourés ? Que c’est bon d’entendre cela ! Au diable la bienséance, le plaisir d’abord.
    
    Mais à côté, le marin aveugle, qui soit dit en passant a enlevé son bandeau pour profiter de la vision de son amant et probablement de sa voisine, pousse le suceur sur le lit. Il défait la ceinture et en tirant sur le pantalon dénude son partenaire. Un partenaire qui ...
    ... bande. Il plonge quelques secondes pour manifestement humidifier un anus objet de sa convoitise. En se redressant, il a tout du pirate désireux de prélever son butin. Il empoigne des jambes qui marquent sa victoire d’un V dont la pointe est l’objet d’une convoitise perverse. Son dard se dirige seul. Je n’en vois pas l’action, mais celui qui se fait posséder gronde si fort que personne ne peut en ignorer la puissance. Un coup de reins à raison d’une défense de principe. La messe est dite. Le ventre de l’un heurte les fesses de l’autre. Des fesses en quasi-lévitation, comme si l’enculé faisait de son mieux pour se faire prendre.
    
    Léon n’est pas insensible au spectacle et doit comprendre ma curiosité. C’est vrai que si « jeune femme » j’ai exploré quelques arcanes de la sexualité de couple je n’ai jamais assisté à tel spectacle. Il doit comprendre mon envie. À son tour il me fait signe, sans un mot de peur de perturber le couple, cela fait drôle de dire « couple » dans ce cas. Ses signes sont assez clairs, ils devancent mon envie. À quatre pattes, levrette de chienne, à contre sens de celui qui est allongé c’est à mon tour de gronder. Léon s’est avancé en moi d’une traite, écartant mes chairs déjà prêtes autant par ma possession avec le jardinier que, je dois le reconnaître, par ce spectacle peu banal. Mais aussi maintenant j’ai une vue plus générale de la pièce. Là-bas, entre les corps je devine les deux femmes sur un lit. Elles sont en 69 et je devine aussi au moins un homme ...
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