1. Rue de la Liberté


    Datte: 25/11/2022, Catégories: fh, hh, grp, hbi, voisins, poilu(e)s, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, Partouze / Groupe yeuxbandés, confession, occasion, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... les bourses.
    
    Mains aveugles, mais qui savent se faire obéir en poussant le visage contre son ventre.
    
    Lèvres masculines, lèvres féminines, pas de différence au premier abord, abordage de gloutonnes qui s’ouvrent pour mieux engloutir. Le mat disparaît doucement. Bateau qui sombre, mais qui refait surface.
    
    Lèvres masculines, aucun doute… avec un menton bleui de barbe. Le bandana de pirate fait une étrange transition. Le pirate agenouillé suce un pirate triomphant. Ce genre de situation devait être fréquent même entre mâles affirmés, cruels sur le pont, possessifs avec les mousses. Mais les mousses ne devaient pas suffire à satisfaire tout le monde et il devait s’en passer de belles dans les profondeurs des ponts. D’autres profondeurs devaient être explorées…
    
    — Sur le lit. Invite le pirate aveugle.
    
    Le suceur se relève et guide de la main son partenaire vers un lit. Il s’assied et se retrouve avec l’homme devant lui reprenant aussitôt la verge un instant abandonnée. Cela ne semble pas une punition de sucer, au contraire il y met du cœur. Pendant ce temps, il aide le pantalon à tomber au sol. La façon dont il caresse les fesses velues donne des frissons.
    
    Léon n’est pas le dernier à les suivre. Il me pousse devant lui. Il écarte le V de mon décolleté. Me voici dépoitraillée, en porte-jarretelles, bas et hauts talons, plus pute que cocotte, du moins je l’espère même si mon anonymat me laisse toute liberté.
    
    Il me pousse à côté du suceur. Celui-ci nous voyant ...
    ... arriver nous jette un regard rapide, mais revient vite à son ouvrage.
    
    Léon se charge de faire descendre son pantalon. Son impatience est joyeuse. Son érection de celle que toute femme pourrait être fière alors qu’elle ne lui a encore rien fait. Le coquin devait fantasmer sur moi. Quoi de plus excitant qu’un fruit inaccessible, défendu par une vertu, certes pas affichée, mais normale dans un couple classique.
    
    Je n’utilise que deux doigts délicats pour tenir son mandrin afin que mes lèvres le trouvent sur leur chemin. Aussitôt, je le relâche ma bouche se chargeant de le tenir. Régis n’aime pas que je le branle. Il veut que tout vienne de mes lèvres, de ma langue, de ma gorge. Je fais comme avec lui.
    
    Ce n’est pas bien de penser à ton mari dans un moment pareil.Non, ne compare pas ! Léon n’a pas une moule, mais un bâton, une tige, un mandrin que ma gorge apprécie. Ses bourses sont des fruits mûrs que je sens impatients de lâcher leur jus. Alors que Régis… Arrête. Infidèle ! Salope ! Chienne ! Oui, mais sans pouvoir totalement oublier son mari, son amour, son compagnon…
    
    L’homme gémit. Son suceur lui fait du bien. Sa bite n’est plus qu’un souvenir. Il ne reste qu’une belle boule que la main cajole. Le reste est… De la salive coule des lèvres, polluant le menton sombre d’une barbe naissante.
    
    Je ne dois pas être beaucoup mieux. Léon pousse sa bite dans ma gorge. Je ne suis pas une « gorge profonde », pas un abîme, tout juste puis-je en gober une bonne moitié. J’aimerais ...
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