1. U.F.O., c'est "FOU" dans le désordre


    Datte: 24/11/2022, Catégories: ffh, campagne, caresses, Oral 69, pénétratio, jeu, attache, sf, fantastiq, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... fesses, sa grosse vulve velue et dilatée s’épanouit soudain laissant béer son sillon détrempé. Je prends mon sexe et l’aligne vers sa vulve, en deux passages rapides mon gland a trouvé l’entrée, une violente poussée des reins et je suis au fond. Je lâche un grognement de satisfaction, elle répond d’un grand « Ahhhhhhhhh ! ». C’est comme une délivrance, et ce n’est que le début. Cette saloperie qui nous est injectée nous rend comme des bêtes, fous tant qu’on n’est pas en train de baiser.
    
    Elle a un beau gros cul, rond et lisse à souhait, je ne l’ai même pas admiré, ni caressé. L’urgence est de me vider dedans. Nos corps font « floc-floc », je la cramponne par les hanches pour synchroniser nos rythmes, car elle se jette vers moi autant que je me rue en elle. Ce serait tellement mieux si on avait le temps, si on le prenait pour faire connaissance, s’exciter mutuellement. Mais non, c’est la quatrième femme que je dois « couvrir » depuis… depuis combien de temps ? Je ne sais pas, je n’ai plus de montre, plus rien. Je dirais depuis cinq ou six heures environ. Oui, ça doit faire ça, une toutes les deux heures. Et les deux glandus qui nous regardent de leurs pastilles sombres sans pupilles, l’air absent, de la même couleur que les murs, que nos bracelets, que leurs « pistolets ». Tout est de la même couleur ici, tout paraît de la même matière. Une sorte de gélatine plus ou moins rigide, plus ou moins déformable, légèrement lumineuse ce qui fait qu’il ne fait jamais nuit. C’est un ...
    ... peu mauve, un peu blanc, un peu bleu, un peu irisé. C’est pas laid, mais c’est monotone.
    
    Monotone comme de ramoner cette pauvre fille comme un taré, ou comme un lapin. Je ne devrais pas me plaindre, mais c’est la quatrième ! Si ça continue, je vais y laisser la peau, d’ailleurs je commence à avoir mal à la queue et aux couilles, d’irritation. Et puis je suis fatigué. Je vais ralentir la cadence et lui parler un peu, si je peux, histoire de faire connaissance.
    
    — Es usted español ?(Êtes-vous espagnole ?)
    — No, Mexico. Y usted ?
    — Francès…
    
    Et la voilà qui part dans un baratin auquel je ne comprends rien. J’ai un vague souvenir de quelques mots, appris avec une prof et des bouquins bien français. Mais la langue courante, c’est une autre paire de manches… Je la lime tranquillou maintenant, essayant de me concentrer sur l’échange. Je voudrais comprendre ce qu’elle me dit, savoir comment elle est arrivée là, savoir si c’est comme moi…
    
    Moi, je rentrais de quelques jours de vacances. Un pote m’avait filé les clés de son appartement à la Grande Motte. Et le jour du retour, je n’avais pas prévu que c’était aussi la fin des vacances des Parisiens. Après trois heures sous le cagnard, même celui du mois d’avril, pour faire cinq kilomètres, j’ai pris la première sortie d’autoroute et je me suis embarqué sur les départementales. Sympas les petites routes, des paysages à couper le souffle. Mais d’une, un sacré boulot derrière le volant, parce que ça monte, ça descend et surtout ...
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