1. U.F.O., c'est "FOU" dans le désordre


    Datte: 24/11/2022, Catégories: ffh, campagne, caresses, Oral 69, pénétratio, jeu, attache, sf, fantastiq, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... font pas de bruit, instinctivement je mets mes mains en l’air en me retournant tout doucement. Drôles de citoyens, pas de chez nous c’est sûr. Je ne sais pas d’où ils sortent ni ce qu’ils veulent. Si c’est juste pour me regarder le blanc de l’œil, je n’y vois pas d’inconvénient. Ils ont l’air de m’observer sous toutes les coutures avec leurs yeux bizarres sans pupille, puis l’un d’eux me tend la main. Enfin, la main, une sorte de pince gélatineuse mi-molle mi-dure au bout de ses longs bras minces et apparemment très souples, comme sans os. OK mon pote, si c’est pour t’en serrer cinq, quoique t’en as que deux.
    
    Il me prend la main et me tire. Pas d’accord, j’essaie de reprendre ce qui me sert à me gratter. Mais il ne lâche pas et tire plus fort. Je saisis le bord du coffre de l’autre main et je résiste à la traction. C’est alors que l’autre me colle son espèce de pistolet sur la tempe et hop… Rideau ! C’est du lexomil express leur truc… Et je me retrouve à poil entravé le long de ce mur un peu tiède et souple. Ai-je dormi une minute, une heure, un jour ? Je n’en sais fichtre rien.
    
    En tout cas, bien, leur somnifère, car je n’en garde pas trace, ni mal au crâne ni esprit vaseux : je reviens à la conscience en aussi bon état qu’avant le shoot. Je pense à ma bagnole abandonnée sur une route de montagne, certainement en panne à cause d’eux, tout comme l’épais brouillard, c’est vraisemblable. Que me veulent-ils ? Pourquoi moi ? Je finis par conclure que je passais au mauvais ...
    ... endroit au mauvais moment. L’une des parois se dissipe, les deux tordus réapparaissent en traînant un grand truc sombre et le placent devant moi. Petit sifflement, un intense rayon lumineux sort de ce machin droit au-dessus de ma tête puis descend lentement jusqu’à mes doigts de pieds. Ce n’est pas douloureux, juste aveuglant en passant sur les yeux, même les paupières fermées.
    
    L’un des deux êtres se repointe avec son pistolet ; ah, c’est encore l’heure de dormir ? Pouf ! Pas du tout, quelques picotements partout, notamment au ventre et dans la poitrine, puis plus rien qu’une sensation étrange de grande énergie et puissance. Je me sens en pleine forme. Ils repartent avec leur bazar, je suis de nouveau seul et toujours attaché. J’en profite pour tirer fort sur mes liens, rien à faire ça tient bon. Je me pose trois cent mille questions. Ça commence à « est-ce que je rêve, je cauchemarde ou suis-je réveillé ? », ça continue par « qu’est-ce qu’ils me veulent ? Que vont-ils faire de moi ? » et ça se finit par « comment puis-je sortir de ce pétrin ? ».
    
    Soudain, la paroi s’efface. Les deux bizarres reviennent avec une superbe blonde accrochée au mur, comme moi. Elle se tortille et n’a pas l’air contente. Mais elle est gaulée comme une déesse ; on dirait la petite sirène du port de Copenhague qui aurait pris vie : longs cheveux blonds, yeux bleus, taille fine, hanches larges, jambes longues, gros seins bien fermes, tout pour plaire. Et elle me plaît, puisqu’instantanément, je ...
«1...345...19»