1. Le collectionneur


    Datte: 24/11/2022, Catégories: fffh, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, uro, ffontaine, Auteur: Starpom, Source: Revebebe

    ... falloir qu’on retourne patrouiller, Valérie. En tout cas, merci pour cet intermède des plus… chauds ! Et superbe voiture, Bruno.
    — Merci, Joce. Si jamais tu veux la conduire un de ces quatre, pas de problème, je te la prête, tu feras juste attention à ne pas la bigner.
    — Ah ça, c’est gentil ! Bon, ce n’est pas tout ça, faut qu’on bosse. On y va, Valérie ?
    — C’est parti. À tout à l’heure, mon cœur.
    
    Mon cœur ? Les bonnes résolutions n’ont pas duré longtemps. Mais c’est très agréable à entendre.
    
    Elles m’embrassent toutes les deux, Val sur la bouche, Jocelyne sur la joue, puis sortent du garage dans la fournaise de cette belle journée d’août ensoleillée.
    
    Je consacre une petite heure à essuyer les voitures, faire l’intérieur de la Mercedes pour enlever toute trace.
    
    Dans le milieu de l’après-midi, je fais un saut au supermarché du coin pour acheter de quoi faire une grosse salade composée et de la charcuterie. Je prends aussi une bouteille de « Moulin à Vent » 2007 pour accompagner le tout.
    
    Ensuite, je checke mes mails, réponds à quelques clients, à mes collaborateurs, histoire de ne pas perdre le fil du travail.
    
    Vers 18 h, je prépare la salade et le plat de charcuterie. J’en profite pour mettre la table, et pour préparer l’apéro dans le salon.
    
    Après cinq minutes de recherche, je retrouve la deuxième télécommande du garage. Je la mets de côté pour Val.
    
    Vers 19 h 15, j’entends la douce mélodie du V4 d’un Vmax. Je vais dans le garage et déclenche ...
    ... l’ouverture de la porte automatique.
    
    Val entre et va garer sa rutilante moto à côté de la Gold. Elle enlève son casque et le pose sur la selle. Elle s’est changée, elle a mis un jean moulant et un petit top orange corail. Elle est ravissante.
    
    — Coucou, mon chéri… euh, Bruno !
    — Coucou, mon cœur… euh, Valérie !
    — Mouaip, faut qu’on revoie nos accords.
    — Manifestement. Bon, tu as passé une bonne journée ?
    — Une excellente matinée, oui. Et cet après-midi, paperasse. Et toi ?
    — Tranquille. J’ai préparé un petit repas tout simple, salade, charcutaille, et un petit apéro. Tu viens ?
    
    Nous allons dans le salon. Je nous sers deux pastis bien frais.
    
    — À la nôtre !
    
    Nous trinquons.
    
    — Bon, Bruno… J’ai un problème.
    — Aïe ?
    — Eh bien, comment dire… En tournant pour rentrer dans ta rue…
    — Oui ?
    — Eh bien… J’ai mouillé. Regarde…
    
    Elle écarte les jambes, et effectivement, il y a une tache d’humidité sur le jean, au niveau de son sexe.
    
    — Ça ne m’était jamais arrivé avant aujourd’hui. Jamais ! Rien que de venir chez toi, ça me rend… toute chose.
    — J’ai eu peur que tu te sois cassé la figure à moto. Ouf !
    — Non, mais attends, c’est inquiétant ! Je pense à toi, enfin, à nous, et paf, je gicle. Tu comprends ce que ça veut dire ?
    — Euh… que tu aimes mon garage, mes véhicules ?
    — Gros malin.
    — Tu as pensé à Céline et Jocelyne, et ton côté masculin a pris le dessus ?
    — Mais tu le fais exprès ou quoi ? Tu ne comprends pas ?
    — Si, j’ai compris, mais nous sommes liés par un ...