1. Un curé dévoué (1)


    Datte: 22/11/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Monsieurpig, Source: Xstory

    ... centimètre par centimètre, sa bite en lui arrachant un soupir de soulagement, car la sensation d’une bite dure dans son cul lui manquait vraiment.
    
    Tout en se faisant démonter le cul, Sarah se caresse le clitoris, elle est au bord de l’extase, un orgasme l’envahit. Elle pousse un cri qui résonne dans toute la chapelle.
    
    Après plusieurs va-et-vient, le curé sent qu’il ne peut plus tenir très longtemps et dit à Sarah qu’il est temps pour elle d’enfin être absolue de ses fautes. Il lui sort la bite de son cul et la fait mettre à genoux.
    
    — Ouvre ta bouche salope, tu vas bien être pardonnée et goûter ton cul par la même occasion !
    
    — Vas-y, balance ton jus vieux cochon, sur la traînée que je suis ! Il y a tellement longtemps que je n’ai pas eu une bite sortant d’un de mes trous de garce !
    
    Ne tenant plus, il lui envoie trois, quatre puis cinq gros jets de foutre dans sa bouche, dont une partie atterrit aussi sur son visage.
    
    Il la regarde, elle toujours à genoux, du sperme sur le visage et quelques gouttes tombant sur ses gros seins, sourire aux lèvres et n’ayant toujours pas avalé le curé, car elle veut profiter d’avoir été rassasiée. Elle avale puis prend un doigt ...
    ... pour récupérer ce qui a coulé et le met en bouche, elle en fait de même avec la bite du curé, puis lui nettoie sa bite.
    
    — Vous voilà absolue de tout péché ma fille, ne recommencez pas trop vite non plus, mais en cas de nouvelles récidives, n’hésitez pas à revenir me voir.
    
    — Bien sûr, mon père, je n’y manquerai pas. Je vous laisse ma culotte en cadeau.
    
    — Merci ma fille. Et que j’y pense, il faudra que vous m’envoyiez votre fille pour que nous puissions discuter elle et moi.
    
    Sarah, surprise, acquiesce avec un petit sourire en coin pendant qu’elle détrousse sa jupe et vérifie qu’il n’y a plus de sperme visible.
    
    — Je lui en toucherai un mot monsieur le curé, mais vous savez comment sont les jeunes filles aujourd’hui, toujours à courir après les garçons et peu de temps pour l’église.
    
    — Je sais très bien comment elles sont aujourd’hui, frivoles, et très peu restent chastes longtemps, mais je vous fais confiance. Allez en paix et soyez bénie, lui dit-il, tout en pensant que lui était soulagé aussi.
    
    La quarantenaire sort de l’église, ravie, et avec le goût du curé encore en bouche et réfléchit déjà à comment convaincre sa fille d’aller se faire confesser.
    
    À suivre 
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