1. Un si joli jardin


    Datte: 22/11/2022, Catégories: ff, fhh, hplusag, inconnu, copains, jardin, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, libercoup, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... raison de plus pour en profiter ! Ne remets jamais à demain la bonne occasion qui se présente ! Crois-en ma vieille expérience !
    
    Lucas devient songeur :
    
    — Vu comme ça…
    — À ton tour !
    
    André lui tend une capote, son collègue rougit, puis se décide à extirper son engin qui est de taille un peu plus petite que la moyenne. Juste avant de se protéger, s’adressant à moi, il se fend quand même d’un timide :
    
    — Vous… vous êtes d’accord ?
    — Devinez !
    — Ben…
    
    Je lui souris :
    
    — Vous connaissez beaucoup de femmes qui montrent à des hommes qu’elles n’ont pas de petite culotte, sans qu’elles aient une petite idée derrière la tête ?
    — Euh… je suppose que…
    
    Faussement navrée, je me tourne vers André :
    
    — Je crains que vous ayez son éducation à revoir…
    — Oui, je vois ça… Son éducation va commencer tout de suite avec vous. Il sera entre de bonnes mains, ou plutôt entre de bonnes cuisses !
    
    À ces paroles directes, je souris. Je sens que ce jeunot se souviendra longtemps de son passage dans ma cuisine !
    
    Légèrement incité par son collègue, sans s’embarrasser de préambules, Lucas présente sa queue bien raide près de ma fente. Celle-ci ne bouge pas quand il pointe son gland à l’entrée de ma chatte bien humide. Elle ne frémit pas non plus quand la colonne de chair s’enfonce en elle avec une facilité déconcertante ! Vu son air, mon nouveau pénétreur semble un peu surpris.
    
    Puis il me saisit par les hanches pour mieux me pistonner, pour lui faire voir qui possède le ...
    ... manche, c’est l’impression qu’il me donne. Un timide qui devient macho quand il constate qu’il peut se laisser aller.
    
    Fermant les yeux, je me laisse aller, je flotte comme absente de mon corps, je perds le fil du temps. J’entends peu après Lucas jouir, mais c’est comme à travers un brouillard. Je suis comme une poupée entre leurs mains, je me laisse faire, absente, ailleurs. Le temps s’efface, l’espace aussi. Un plaisir diffus, cotonneux m’enveloppe. Puis soudain, je réémerge…
    
    À présent, je suis solidement encadrée par les deux hommes, un devant et un derrière. Le jeunot est toujours planté en moi, et le plus mature doit avoir une idée derrière la tête à se frotter de la sorte contre mes fesses !
    
    Devant, une tige s’active pour me procurer du bien-être, j’en frissonne d’aise. Cette petite colonne plonge et replonge en moi, massant ma vulve si accueillante, la taraudant au plus intime ; mon corps est pris de petits tressaillements. Ce n’est pas que Lucas soit réellement un bon amant, c’est surtout le fait d’avoir deux hommes pour s’occuper de moi.
    
    Je l’encourage à ma façon :
    
    — Oui… oui… continue ! Ouiii, comme ça !
    
    Tandis que j’halète de désir, une autre queue se poste à mon autre entrée. André s’enhardit, je ne demande pas mieux ! Ma rosette ne résiste pas longtemps à la sourde pression d’un gland plus gros qui s’ajuste pourtant parfaitement contre elle. Percée par-devant, entreprise par-derrière, je commence à perdre pied, se laissant aller doucement à ma future ...
«12...567...»