Un si joli jardin - Histoires de Sexe

Un si joli jardin

... à avoir quelques soucis de concentration…

Je retire alors la queue que je suçais pour annoncer :

— Malheureusement, je n’ai pas trop de temps devant moi…

C’est un petit mensonge, car aujourd’hui, je ne travaille pas. Mais j’aimerais faire quelques courses, et laisser les jardiniers continuer leur boulot, après avoir profité d’eux, bien sûr.

— Vous disposez de combien de temps, Madame ?

Sa verge toujours en main, je lève les yeux pour regarder l’heure sur l’horloge accrochée au mur :

— Une demi-heure, environ…
— Pas de problème ! Nous pouvons entrer dans le vif du sujet, si vous acceptez de passer l’étape des préliminaires…
— À la bonne franquette ?
— On va le dire comme ça, chère Madame.

On dirait qu’il s’y connaît en femme à honorer dans leur cuisine, car prenant la direction des opérations, il me plaque contre le plan de travail, puis sortant de sa poche une capote, il encapuchonne prestement sa queue bien raide. Je lui fais remarquer :

— Je vois que vous êtes prévoyant, André !
— Un bon jardinier doit avoir les bons outils…
— Je ne peux pas vous donner tort.

Puis André présente sa grosse verge à l’entrée de ma fente qui la réclame. Tout d’abord, il s’enfonce en moi doucement, me faisant bien ressentir chaque millimètre. Il est évident que je ne suis pas tombée sur un débutant. Puis arrivé à mi-parcours, il donne de grands coups de reins afin de mieux pénétrer ma chatte accueillante.

— Hé bé !

Son collègue n’en revient pas. Il nous ...

... regarde faire avec de gros yeux ronds, ce qui m’amuse beaucoup, en bonne vicieuse que je suis. Maintenant, le jardinier est en train de joyeusement me défoncer, le plan de travail résonne sous les sacrés coups de butoir de mon assaillant.

— Han ! Han ! Han !

J’ai déjà subi des assauts, mais je dois reconnaître que cette fois, ça y va de bon cœur ! Quelle fougue chez un homme largement mature ! Peut-être qu’il se rattrape ainsi d’une vie conjugale peu folichonne. Soudain, à mon grand étonnement, il se retire, puis se frotte contre mon pubis, puis contre mon clitoris. Sa verge gluante de ma cyprine exacerbe mon petit bouton rose qui s’enflamme. Je gémis, je soupire, je me tortille. Ce gros cochon sait bien s’y prendre !

— Aaaah… Wie gut es ist ! Oooh ! Verdammt, es ist seht guuut ! Zooo !
— Je vois que Madame se laisse aller dans sa langue maternelle !

Les yeux clos, je rétorque :

— Quand c’est trop bon… je… je me laisse aller…
— Dans ce cas, laissez-vous complètement aller…

Pas besoin de me le dire deux fois ! Il me continue de se frotter vicieusement. J’explose presque aussitôt dans un grand râle. C’est alors que mon amant replonge sa bonne bite en moi, ce qui double, triple, décuple ma jouissance ! C’est dingue ! C’est ensemble que nous jouissons !

Tandis que je récupère, André s’adresse à son compagnon :

— J’espère que tu ne vas pas faire tapisserie, mon petit !
— Tu… tu veux que je participe ?
— T’es actuellement fâché avec ta copine, non ? Bonne ...