Une mère pas comme les autres... (3) - Histoires de Sexe

Une mère pas comme les autres... (3)

... dix minutes fatidiques. Je pourrai me branler dans ma chambre après. Mais ne pas lui donner raison, c’était la seule pensée qui m’animait à cet instant. Et tous mes efforts étaient tournés vers ce but.

Mais lorsque ma mère reprit, je sus que je ne tiendrai pas.

— Mmmhhh...mon chéri. C’est bon, mais j’ai envie de passer à quelque chose de sérieux.

Parce que ce n’était pas sérieux ? Je la vis alors tendre la main vers le petit sac dont elle avait sorti le gode. Elle prit un vibromasseur qu’elle alluma directement sur son clitoris. L’effet fut saisissant car, elle écarta ses jambes sur les accoudoirs du fauteuil, dans un pose obscène, le vibro massant inlassablement son clitoris.

— Aaaarrghhh….ouiiiiiiiiii, c’est booooon, putain ! Comment ai-je fait pour ne plus jouir si longtemps. Aarrggghhhh….ouiiii, encooooore….ooooohhhhhhh !

Je la vis augmenter la vitesse des vibrations et son sexe réagir. Je pouvais voir sa chatte s’ouvrir et se fermer au rythme de son plaisir montant. Elle y introduit alors, de son autre main, son gode qui lui avait servi précédemment. Elle se pénétrait la chatte, devenue une mer de cyprine, tout en se masturbant le clitoris à l’aide de son vibromasseur.

— OOOHHHHH….PUTAIIIIIN, ouiiiiiiiiiiii ! Hurla-t-elle lorsque son orgasme monta irrémédiablement. Philiiiiippppe….C’est boooon.. Comment est ta queue, mon chéri ? Elle est dure, j’espère...je l’imagine à la place de ce bout de plastique, me prenant la chatte ! Oh mon diiiieuuu, ...

... ouiiiiii.

Cette dernière phrase eut raison de moi. Je sentis mon sperme gicler avec force dans mon boxer. Quatre longs jets se succédèrent sans que je ne touche mon sexe. Ma mère venait de me faire jouir sans me toucher, comme elle l’avait juré.

Et en moins de six minutes.

Mon cri de jouissance lui fit lever la tête et, d’un coup, elle stoppa son jeu. Se relevant comme si de rien n’était, elle se plaça devant moi et, posant la main sur mon sexe, sentit le fruit humide de mon plaisir recouvrir le lycra de mon sous-vêtement.

— On dirait que je n’ai pas trop perdu la main ? N’est-ce pas ? Me demanda-t-elle en me souriant.

— Maman ! Dis-je haletant. Mais…

— Oui ? Demanda-t-elle mutine.

— Et toi ? Tu n’as pas joui ?

— Moi ? Bien sûr que non, petit pervers.

— Mais…

— Tu penses que ce que tu viens de voir était réel ? Ahahah...mon chéri. Que tu es adorable de naïveté.

— Quoi ? Dis-je en reprenant mon souffle.

— Mon amour ! Il m’en faudrait plus pour jouir. Un homme n’est qu’un bouton. Tu appuies correctement dessus et il s’allume. Quand une femme connaît son corps et l’effet que des courbes ou des mots ont sur les hommes, elle en fait ce qu’elle veut.

— Tu veux dire que tu n’as pas pris le moindre plaisir ?

— Bien sûr que si, mon chéri. Ma chatte est trempée de m’être exhibée ainsi devant toi. Mais ce que je viens de faire n’est rien comparé à ce dont je suis capable. Ce n’était qu’un petit échauffement. Je n’y suis pas allée trop fort pour ne pas ...