Une mère pas comme les autres... (3) - Histoires de Sexe

Une mère pas comme les autres... (3)

... poitrine dans tout sa splendeur.

Ma queue se tendit d’un coup dans mon boxer. Je me maudis intérieurement de ma faiblesse en espérant qu’elle ne l’avait pas déjà remarqué.

— J’ai bien peur que cela soit encore plus facile que prévu, mon chéri ! Tu bandes juste en me regardant.

— Merde, maman ! Tu t’es regardée ? Dis-je dépité par la faiblesse de mon corps.

— Oui ! C’est le but, mon chéri. Te faire bander et te faire jouir.

— Tu dis cela comme si tu préparais une tarte aux pommes.

— Tu as vue American Pie, mon chéri ? Me demanda-t-elle en mordillant le bout de son index tout en passant une main sur ses seins.

— MAMAN ! Oui, je connais la légende de la tarte aux pommes. Merde, arrête ! Tout est sexuel, pour toi ?

— Oui ! Affirma-t-elle en susurrant cette réponse, sa main quittant sa bouche pour rejoindre l’autre sur ses seins, les prenant en cuillère et les soulevant doucement sous le tissu diaphane.

Je ne pouvais détacher mon regard de ce mouvement, ô combien, chargé en érotisme.

— Maintenant, tu vas te taire et jouer au petit voyeur qui espionne sa maman chérie se donner du plaisir. Alors silence, je veux que tes yeux parlent à ta place. Regarde, Philippe. Regarde mes mains s’emparer de mes seins. Tu les aimes, n’est-ce pas ? Tu n’arrêtes pas de les regarder et de les admirer depuis le début de la soirée. Tu aimais lorsque je passais mes bras sous eux pour les relever et les faire bomber. Ils sont gros, n’est-ce pas ? Et mes tétons, tu les aimes ...

... ? Me demanda-t-elle en les emprisonnant l’un après l’autre en chacun de ses doigts, les tirant doucement dans ma direction et les faisant pointer outrageusement.

Je dois avouer qu’elle savait ce qu’elle faisait. Surtout en m’interdisant de participer, juste à jouer au voyeur et en l’écoutant me décrire son corps de déesse. Ma queue était bandée comme jamais. Même Anaïs, pourtant une coquine de première catégorie, ne lui arrivait pas à la cheville. Mes certitudes concernant ma résistance commençaient doucement à s’envoler.

Ma mère reprit alors

— Tu aimes mes gros seins ? J’imagine que oui. Tous les hommes aiment les seins des femmes. Et je pourrais imaginer ta queue entre eux, montant et descendant, ma langue jouant avec ton gland à chaque passage. Mmmmmmhh….j’aimerais goûter à ta queue. J’ai vu qu’elle était de taille respectable, il faudra que je vérifie un jour. Mmmhhh...je la sens entre mes seins, mon chéri. Elle repousse mes globes, il faut que je les serre autour de ta tige, comme cela.

Elle prit alors un gode qu’elle avait probablement emmené de son armoire secrète et le posa entre ses seins, toujours sous son vêtement et me mima, en me fixant droit dans les yeux, une cravate de notaire magistrale. La bite en plastique tenait seule entre ses seins qu’elle pressait l’un contre l’autre, la langue pendant vers le gland factice.

— Mais je pense que je peux faire mieux !

Ma mère recula alors et s’assit dans le fauteuil. Elle écarta ses jambes, me laissant ...