1. Orphelin


    Datte: 18/11/2022, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, religion, fsoumise, fdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... en arrière. Elle grondait et marmonnait des « oh oui… oh, c’est bon… ». Elle se coucha sur moi, cuisses repliées et tressauta longtemps sur ma queue. J’adorais ça. Pour continuer de la câliner, j’ai posé mes mains sur son dos, mais sa peau ne glissait plus, elle était couverte d’une fine buée. Je suis descendu jusqu’à ses fesses, rondes, ouvertes, dilatées par sa position. J’ai baladé mes doigts dans son sillon, touchant la base de mon pénis. C’était trempé. Et malgré ça, j’ai senti qu’à chaque fois que son cul montait, ses petites lèvres restaient étirées autour de ma hampe puis se retournaient à l’intérieur lorsqu’elle descendait. J’ai tripoté tout ça et, grâce à son jus bien glissant, toutes les parties accessibles de sa vulve jusqu’à son petit trou du cul. Elle semblait adorer, j’ai continué. Et soudain, elle s’est cabrée, a rugi et s’est écroulée sur moi agitée de soubresauts multiples.
    
    — Putain ce pied, mon petit chéri… Houuuuuu ! Merci ! … C’est bien, tu m’as bien donné le temps de jouir. Mais je vais te récompenser…
    
    Elle s’extirpa de mon sexe et se plaça à quatre pattes à côté de moi, m’invitant à venir derrière elle. Ah oui ! Ah trois fois oui ! Comme son cul pouvait être superbe ainsi ! On aurait dit… un cœur à l’envers. Et son sillon bien ouvert, sa vulve qui giclait vers moi entre ses cuisses écartées. J’ai tout compris, je présentai ma queue, et toc ! Droit au fond. Elle se déroba un peu puis revint à sa position initiale. Eh oui, je sentais encore mieux ...
    ... le fond, comme ça. Mais en plus, j’avais les mains libres. Je pouvais me cramponner à ses hanches, tripoter ses seins… Ça me plut énormément. Alors je m’en donnai à cœur joie. Locomotive, pétrissage de seins, pincement des tétons, ah ! Et tiens, en me penchant sur son dos, je pouvais même accéder à son petit bouton. Oh, elle aimait ça, et moi aussi. Je sentis que là, prête ou pas, je ne pourrais pas attendre longtemps. Elle m’excitait tellement, je ne pouvais m’empêcher d’accélérer. Oh que c’était bon, je sentais que c’était de meilleur en meilleur, mes mains se crispaient mon corps tout entier bouillonnait et soudain ce fut mon tour de tétaniser. Feu d’artifice dans ma tête, fulgurance dans mes reins et geyser au bout de ma queue, tout là-bas au fond de son ventre. Je criai, elle aussi, je la tirai sur ma queue par les hanches pour les trois dernières grosses secousses, jusqu’à ce que les jets se calment, elle couinait comme une peluche d’enfant que l’on secoue. Puis elle devint toute molle entre mes mains, elle s’écroula sur le lit en m’entraînant, toujours au fond d’elle. Elle respirait comme un soufflet de forge :
    
    — Hhhhrrrr… hhhhrrrr… tu m’as tuée… tu m’as démolie… j’en peux plus…
    
    Je voulus me retirer de sur elle pour lui laisser un peu d’air, nos corps étaient collés par nos sueurs. Elle cria :
    
    — Non, reste ! Reste, je t’en prie, c’est trop bon… Si tu te retires maintenant, je crois que tu m’arracheras tout le ventre…
    
    Je repris mes esprits et mon souffle ...
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