1. Orphelin


    Datte: 18/11/2022, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, religion, fsoumise, fdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... cette grotte merveilleuse et d’y laper ce liquide légèrement visqueux et poivré, totalement enivrant. J’ai décapuchonné, aspiré et fouetté du bout de la langue le petit bouton d’amour qui la faisait tant sursauter. J’ai fourré mes doigts partout, j’ai enduit toutes ses chairs apparentes de ce bon jus si goûtu, je l’ai fait râler, sursauter, tressauter et supplier :
    
    — Oh oui… oh oui, mon chéri… oh, je t’en supplie ne t’arrête pas… Oh oui, je jouis !
    
    J’eus la surprise de voir ce cataclysme neurologique tétaniser cette jolie femme, la faire crier et exploser en gestes désordonnés. J’étais à la fois étonné, ravi et fier d’entendre ses compliments et l’invitation qui suivit :
    
    — Merveilleux ! Allez, maintenant viens en moi. Mais fais doucement, une femme c’est fragile.
    
    Elle me guida de sa menotte. J’avais trouvé sa bouche incroyablement délicieuse, mais là c’était bien au-delà, bien plus que mon imagination l’avait supposé. C’était chaud et humide, tout serré autour de mon gland, et ça s’écartait sur mon passage pour se resserrer derrière, et tout du long. Ses lèvres puissance cent ! J’ai senti que je touchais le fond, mais j’avais encore deux ou trois centimètres à entrer, j’ai poussé doucement, comme elle m’avait dit.
    
    — Ouf ! … Nom d’un chien, ça, c’est une expérience…
    — Je te fais mal ?
    — Non, pas vraiment, mais tu me chamboules tout le ventre. Fais doucement, ne bouge plus, il faut que je m’habitue…
    
    Mes parents ne m’avaient pas donné le mode d’emploi. Soit ...
    ... ils l’avaient perdu, soit ils n’imaginaient pas que j’en aurais besoin. Malgré tout, il doit y avoir certains automatismes inscrits dans les gènes. J’ai su tout de suite que coulisser dans ce fourreau délicat allait me faire le plus grand bien, à la manière de ma main quand je me tripotais ou de celle de Frane ce matin. Dès qu’elle me donna le feu vert pour m’agiter, j’ai lancé le piston de la locomotive.
    
    — Holà, holà, holà, s’écria-t-elle ! Doucement mon lapin. Parce que tu fais le lapin, là. Faire l’amour, ce n’est pas une corvée dont on se débarrasse le plus vite possible en vidant ses couilles dans le ventre de la dame. C’est d’abord et avant tout un partage. Et la dame elle a besoin de temps, de douceur, de tendresse. De violence aussi parfois, mais pas là. Ne cherche pas que ton plaisir, pense au mien. Prends le temps, apprends à gérer ton plaisir, essaie de l’accorder sur le mien. N’arrête pas de me cajoler, de me caresser, de chercher à m’émouvoir. Attends, laisse-moi faire…
    
    D’un coup de reins, elle me bascula sur le dos, toujours enfilée sur mon mât de beaupré. Elle me fit des petits bisous partout, sur ma bouche, sur mes joues, mon cou, mes oreilles, ma poitrine, mes tétons, et son bassin ne cessait de se trémousser torturant délicieusement ma queue. Elle s’est redressée, m’a pris les mains pour les poser sur ses seins et s’est lancée dans une folle chevauchée, parfois montant et descendant en utilisant le rebond du lit, parfois en basculant son bassin d’avant ...
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