Les aventures d'Aldvin, le barde - Histoires de Sexe

Les aventures d'Aldvin, le barde

... bien, oui, même si je n’ai pas tous mes repères dans ce corps de mâle elfe.

Aldvin bandait à nouveau, pourvu que tout marche ! Il me pénétra étant face à moi, doucement d’abord, puis plus profondément. Comme c’était son deuxième coït de l’après-midi, sa jouissance fut plus longue à venir, pour mon plus grand bonheur. Je jouis la première, puis il se déversa en moi. Je ne sais si cela allait me mettre enceinte, mais je pris un énorme plaisir. Il est vrai que cela faisait aussi longtemps que je n’avais pas connu Aldvin en version masculine.

Après qu’il se fut retiré de ma chatte gluante de sperme elfique, nous nous reposâmes tous un peu. Sourisse avait assisté à notre coït en masturbant ses deux sexes et en se caressant les seins.

Il fallait maintenant qu’Aldvin retourne chez les korrigans pour changer de sexe devant le miroir. Nous nous rhabillâmes pour faire l’aller-retour en téléportation.

— Sourisse, tu viens avec nous ? demandai-je
— Oui, si cela ne vous dérange pas, je suis curieuse d’assister à la transformation…
— Alons-y, dis-je

Et je nous transportai au village korrigan. Nous accompagnâmes Aldvin dans la hutte du miroir. Le chaman était là et nous interpella :

— Bravo, je vois que les deux tiers du contrat sont remplis !

Il savait donc que Sourisse et moi étions déjà fécondées… Sourisse lui répondit :

— C’est bien la première fois que je me fais traiter de tiers !

Nous rîmes de bon cœur.

Aldvin prononça les mots qui firent de ...

... lui la belle Aldvine que nous connaissions.

— On y retourne ? dit-elle
— Allez, va pour le troisième tiers, dit Sourisse.

La cabane nous attendait. J’avais emmené les dessous qu’Aldvine s’était achetés chez les nains.

— Aldvine, tu te mets en tenue ? demandai-je.
— Avec plaisir, dit-elle.

Sourisse avait gardé, elle aussi, ses dessous. Après moult caresses et baisers, Aldvine se coucha sur le lit, je me mis à califourchon, la chatte sur sa bouche et Sourisse commença à titiller ses lèvres et son cogito bien humidifiés par l’excitation. Sourisse n’eut aucun mal à entrer en Aldvine, mais dans sa chatte cette fois et la lutina longuement. Nous nous embrassions à pleine bouche, elle et à moi, et jouions avec nos mains sur nos seins. Sourisse finit par se libérer dans la matrice d’Aldvine qui jouit peu de temps après. La langue d’Aldvine me fit aussi atteindre un bel orgasme.

Troisième tiers rempli ! dit Sourisse.

Cette plaisanterie allait certainement perdurer !

Au retour chez les korrigans, le chaman nous annonça qu’il commencerait la création de notre miroir dès le lendemain. Nous dormîmes chez les korrigans, qui nous assignèrent une grande hutte pour rester chez eux pendant nos trois grossesses. Des femmes korrigans vinrent se présenter à nous, en nous disant qu’elles étaient là pour nous assister jusqu’aux termes. Nous les remerciâmes grandement. La nuit était tombée, un bon repas nous attendait et nous dormîmes de notre premier sommeil de femmes ...