Les aventures d'Aldvin, le barde - Histoires de Sexe

Les aventures d'Aldvin, le barde

... maillots en voile léger agrémentés de dentelles qui moulaient bien nos poitrines et notre ventre. Sourisse avait cet ensemble blanc et moi en noir. Nous nous trouvions belles ainsi.

Nous étions bien sûr habillé·es en arrivant à la cabane. Nous entrâmes, l’atmosphère était douce et chaude. Nous commençâmes à nous embrasser, nous câliner, puis les vêtements de dessus disparurent pour nous faire apparaître en dessous… Aldvin fut impressionné par nos tenues, il nous dit que cela renforçait encore plus notre féminité, ce à quoi, je lui répondis qu’il pourrait faire de même une fois redevenu femme. Il en convint.

Nous continuâmes nos baisers et nos caresses. Nous nous mîmes en 69, Sourisse et moi, je pus ainsi profiter non seulement de sa vulve et de son sexe, l’un et l’autre passant alternativement dans ma bouche. Sourisse était sur moi. Aldvin vint pénétrer la chatte de Sourisse alors que nous étions toujours dans cette position. J’avais une vue sur son sexe coulissant dans la chatte de Sourisse. Le coït fut long et beau.

Alors que je sentais Sourisse sur le point de jouir – je n’en étais pas loin non plus, sous l’effet de la langue et des doigts de cette dernière sur mon puits d’amour, Aldvin nous prévint qu’il n’allait pas tarder à se répandre dans la matrice de la belle Sourisse. Cela faisait six ans qu’il n’avait pas joui en homme. Il lâcha donc son sperme d’elfe dans le con de notre belle hermaphrodite. Ils restèrent soudés l’un à l’autre un certain temps, puis ...

... Aldvin se dégagea.

Sourisse dit d’un air mutin :

— Dire qu’on dit que les elfes mâles ne sont pas de bons amants…
— Oui, mais qui est Aldvin, homme ou elfe ? ajoutai-je.
— J’ai pris un plaisir fou, merci Sourisse, dit Aldvin.
— C’est pas tout ça, dis-je, à mon tour de me faire engrosser !
— Euh, dit Aldvin, il faut que je recharge un peu les batteries !

Nous continuâmes à nous caresser. Sourisse avait l’air très heureuse :

— Tu m’as bien rempli la chatte, Aldvin, dit-elle. Je ne pensais pas que je pourrais supporter cela un jour…
— J’espère avoir rempli ma mission, dit Aldvin, ne réalisant pas ce qu’il venait de dire…
— Ta mission, je ne sais pas, mais ma chatte, oui, répondit Sourisse.
— Mmmhhh, Sourisse, tu bandes bien, dit Aldvin… Tu ne voudrais pas me galduriser pendant que je me recharge ?
— Avec plaisir, bel Aldvin, viens-là que je te galdurise…

Aldin s’allongea dos sur la couche, cuisses écartées, Sourisse vint se placer devant lui et l’embrocha par son petit trou. Elle mit ses jambes autour de son cou et le besogna avec passion. Je me mis derrière Sourisse et lui caressait les seins et les fesses. Sourisse finit par jouir dans le cul d’Aldvin. Celui-ci lui dit :

— Gardes-en pour tout à l’heure, quand je serai femme…
— Ne t’en fais pas, tu auras ta dose… répondit-elle.

Nous nous reposâmes une bonne heure avant qu’Aldvine me dise :

— Belle Mégane, es-tu prête à te faire saillir ?
— Oui, mon bel étalon, as-tu retrouvé la forme ?
— Je crois ...