Les aventures d'Aldvin, le barde
Datte: 17/11/2022,
Catégories:
ff,
fff,
grp,
Collègues / Travail
forêt,
bateau,
amour,
BDSM / Fétichisme
Transexuels
fdanus,
donjon,
attache,
conte,
merveilleu,
sorcelleri,
merveille,
Auteur: Miss Arthur, Source: Revebebe
... boules de feu. Nous avions bien sûr été repérés avec ce combat et ce fut ensuite le tour des araignées géantes de nous attaquer. Là aussi, boules de feu et épées firent le travail, mais avec beaucoup plus de difficultés. Nous fûmes tous blessés à divers stades, rien de trop grave, mais il fallait nous reposer.
Nous prîmes quartier dans une salle lugubre qui n’avait pas trop de portes, en fait deux. Nous montâmes la garde la nuit par équipes de deux. Je fis équipe avec Garmil, Mégane avec Léodegran et Andgaar avec Sourisse. La nuit fut calme et rien ne se passa. Pas complètement remis de nos combats et blessures de la veille, ayant passé une nuit pas terrible, nous reprîmes notre progression le lendemain, pour atteindre la zone non cartographiée du donjon.
C’est là que les choses commencèrent à mal tourner pour nous. Ce furent tout d’abord des grognements lointains puis qui se rapprochèrent. C’était probablement le basilic, il nous avait sentis. Nous ignorions qu’il ne fallait surtout pas, si nous le rencontrions, croiser son regard au risque d’être pétrifié.
J’étais en éclaireur avec Sourisse alors que nous arrivions dans une salle immense. Je vis le basilic, et nos regards se croisèrent. Je m’immobilisai immédiatement malgré moi. Je vis autour de moi que le combat s’engageait. Mes yeux étant fixes, je ne pouvais avoir la perception complète de ce qui se passait. Je ne saurais dire qui avait le dessus. Les boules de feu fusaient, les épées taillaient.
En un ...
... instant, je reçus un choc violent qui me projeta avec plusieurs, contre une surface dure, peut-être un mur… Je perdis connaissance. Après un certain temps, je retrouvai une perception de la pièce, mais je flottais dans l’air. Du haut du plafond, je vis mes camarades autour d’un corps humain. Je me reconnus. Je vis aussi qu’à quelques mètres gisait le cadavre du basilic. Nous avions gagné.
Mégane pleurait à chaudes larmes. De ma position d’observation étrange, je captais leurs voix :
— Est-il mort ? dit-elle en essayant de masquer ses sanglots,
— Il respire, dit Garmil, mais il est le coma
— Va-t-il se réveiller ? demanda Andgaar
— Je ne crois pas, dit Garmil, en tous cas pas ici. Il faut l’emmener au temple, peut-être pourrons-nous le soigner, il est salement amoché.
— Mégane s’était jetée sur moi et me couvrait de baisers. Mon corps était immobile.
Andgaar essaya de reprendre le contrôle de la situation :
— Priorité numéro un : évacuer Aldvin. Léodegran et Garmil, rejoignez la surface avec Mégane. Mégane, une fois dehors, essaie de ramener le groupe constitué à la maison et ensuite Garmil fera ce qu’il a à faire. Je reste ici avec Sourisse.
— Et pourquoi restez-vous ? demanda Mégane
— Même si ce n’est pas prioritaire, il est possible que nous ayons vidé le donjon de ses occupants. Et si c’est bien le cas, nous ne serons pas venus pour rien, vu les trésors dans cette pièce.
— Comment oses-tu, dit Mégane, Aldvin est notre seul souci. Rien à foutre du trésor.
— ...